Le bêtisier de la police

  • Il était cloué sur son lit d’hôpital par deux coups de couteau au bras.
  •  L’homme était assez lucide pour constater qu’il n’avait plus toute
    sa lucidité.
  •  Le motif du vol était le meurtre.
  • Jusqu’au bout, l’homme répondit aimablement à toutes les questions…
    par un grand silence.
  •  Il rédigea lui-même par écrit
    son témoignage oral.
  • Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour attirer l’attention des autres automobilistes.
  •  Bien que nous étions cinq à encercler l’homme, celui-ci réussit à s’enfuir sans difficulté.
  • Malgré ses quatre frères et sœurs,
    le jeune homme était fils unique.
  •  N’écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en retraite.
  • Toutes les entrées de la femme étant verrouillées, les deux cambrioleurs la pénétrèrent par le devant.
  •  L’accident qui avait provoqué sa mort était bien un accident mortel.
  • Le récidiviste n’avait jamais rien eu à se reprocher.
  • Le mur avançait à grand pas vers le véhicule.
  •  La disparition de l’enfant a été signalée par ses parents dès son retour.
  •  Pour sortir, il est clair que l’homme avait d’abord dû entrer.
  •  La femme essayait de cacher son identité derrière ses larmes.
  •  Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
  •  Personne n’ayant donné les ordres nécessaires, il n’était pas difficile d’y obéir.
  •  Soudain, la voiture recula pour mieux avancer.
  •  L’infraction fut constatée par la Sûreté deux jours avant qu’elle n’ait lieu.
  •  Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort nous décrive son agresseur.
  • Le pendu est mort noyé.
  • Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.

  •  Dès que l’homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
  •  Arrêté par les enquêteurs, le voleur les a menacés d’appeler la police.
  • Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l’un avec l’autre exactement le même jour.
  • Le plaignant, visiblement en état d’ébriété, prétendait s’appeler Jésus et signa le formulaire d’une croix.
  •  Si nos policiers n’étaient pas intervenus, le viol n’aurait sûrement jamais eu lieu.
  • L’homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s’entendre très bien avec elle.
  • Nous avons donc pu constater qu’il n’y avait rien à constater.
  • Ses explications étaient si embrouillées que nous avons dû le relâcher, faute d’avoir la preuve que nous pouvions comprendre ses explications.
  •  C’est la pluie qui empêcha le policier de s’apercevoir qu’il neigeait.
  • L’homme nous raconta toute la vérité qui n’était en fait qu’un tissu de mensonges.
  •  Pendant tout l’interrogatoire, l’homme n’a cessé de nous dévisager avec ses propres yeux.
  •  Maîtrisé par nos soins, l’homme s’est enfui à toutes jambes, malgré sa jambe artificielle qui s’était décrochée.
  •  Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime laissaient croire à une mort qui n’était pas naturelle.
  • Si la fenêtre du bureau n’avait pas été ouverte, elle aurait été fermée, ce qui lui aurait permis de s’enfuir…
  • L’homme qui était aussi sourd que son épouse, ne semblait pas s’entendre très bien avec elle.
  • Le coup porté à bout portant lui a enfoncé la moitié des dents dans les oreilles.
  •  Le défunt a formellement reconnu son agresseur.
  •  L’homme a juste eu le temps de déposer sa plainte sur le bureau avant de s’écrouler devant nos yeux qui n’ont rien compris.
  •  L’homme fut atteint au nez et aux narines.
  • Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire.
  •  La mer était sa terre natale.
  •  Le suspect étant sans domicile fixe, les policiers purent le cueillir quand il sortit enfin de chez lui.
  • Mort sur le coup, l’homme avait déjà été victime d’un accident identique l’an dernier.
  • Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la rivière.
  •  La victime, blessée à une jambe, est venue jusqu’à l’auto-patrouille en copulant sur une jambe.
  •  Le suspect s’est alors décidé à passer aux aveux sans même qu’on ait à le frapper.
  • Comme il devait être pris en charge au plus vite par un asile d’aliénés, il a été conduit au poste de police.

36 réflexions sur “Le bêtisier de la police

  1. Pourquoi avoir choisi la « police » ? Pourquoi ne pas avoir choisi les bêtisiers de ceux qui nous gouvernent, de ceux qui nous soignent, qui nous administrent ? C’est si facile de relever les « travers », les « insuffisances ». J’aurais aimé de votre part un regard positif envers cette gente, si décriée, si mal-aimée qui fait son boulot avec dévouement, sans compter ses heures, mettant son mouchoir par-dessus son stress, son angoisse et repart au boulot, matin, après-midi ou en soirée, et tente de rester un « humain » droit dans ses bottes.

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    • Chère Frédérique,
      Vous suivez ce blog depuis peu de temps mais si vous regardez dans la section « humour », j’y a mis des bêtisiers de l’administration, de l’éducation, des impôts, de la sécu, ainsi que des blagues sur les blondes…et je suis blonde 😀
      Ce n’est en aucun cas une marque d’irrespect envers cette profession, juste envie de rire et je crois que la capacité de ne pas se prendre trop au sérieux est fort précieuse.
      Il y a aussi une blague sur les ingénieurs et j’en connais qui se sont bien amusés, j’espère que la réaction des policiers serait la même.
      Quant à ceux qui nous gouvernent, aucun besoin de bêtisier, il suffit de regarder la télé…
      Désolée de vous avoir heurté mais c’était sans méchanceté aucune…
      Mes amitiés

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      • Bonjour Elisabeth,
        J’aurais dû lire vos autres billets dans la rubrique « humour » . Loin de moi l’idée que vous exprimiez de la méchanceté et/ou de l’irrespect, soyez en sûre. Cependant, même si je conçois que l’humour soit une bonne « hygiène », je crains qu’il ne vienne, dans les mentalités de certains, renforcer des préjugés.

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        • Bonsoir Frédérique,
          Merci à vous mais mon seul objectif est de mettre ici une touche d’humour et je fais extrêmement attention à ne jamais offenser personne.
          Comme vous pouvez le voir, il n’y a aucun commentaire désobligeant envers nos policiers et les gens qui viennent sur ce site sont dépourvus de préjugés. D’ailleurs, je modère les réponses et je ne laisserai jamais passer une remarque déplaisante.
          Bien à vous…

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  2. rien de tel que ton bêtisier pour effacer une semaine difficile, MERCI (mon chouchou : « Le policier put frapper son agresseur à la tête sans difficulté, son arme étant parfaitement réglementaire. »)

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  3. C’est quand même assez triste de constater le niveau de rédaction de certains de nos hommes de police … je dis ça parce que je viens de tomber sur un texte donné en cap (fleuriste, il n’y a rien à voir certes ) et je me dis que franchement, nous n’aidons pas notre jeunesse …

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  4. Nannnn c’est vraiment vrai des trucs comme ça ??? lol , 😆 , hé ben …..on est sauvés avec des lustucrus (l’eusses-tu cru ?) pareils …lol
    Bises ma douce…et bonne soirée

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