Les surdoués ne sont pas ceux que l’on croit

Les surdoués sont-ils vraiment ceux qui réussissent brillamment les tests de QI ? De plus en plus de spécialistes le contestent et soulignent d’autres aspects de l’intelligence et des potentiels humains. Comme l’intelligence émotionnelle et perceptive.

Les surdoués ne sont peut-être pas ceux que l’on croit. Dans notre société actuelle, le Quotient Intellectuel reste la référence absolue de l’intelligence. Seuls les tests de QI permettent de donner des indices sur la vivacité intellectuelle d’un adulte ou d’un enfant, et de juger s’il
est « surefficient » ou non.

Pourtant aujourd’hui, ces tests sont de plus en plus contestés car ils font appel à notre raisonnement dans un environnement structuré, en l’occurrence via des problématiques données où il n’existe qu’une seule bonne réponse. Par conséquent, le QI ne prend pas en compte notre comportement dans un environnement non structuré, qui correspondrait mieux à la réalité vécue.

« C’est une question sensible, » confirme Maria Pereira-Fradin, maître de conférence en psychologie et chercheuse au CNRS. « Le QI a un avantage : c’est un indice précis, un chiffre qui situe un individu par rapport aux autres. Même si la mesure présente un certain confort, elle a de sérieuses limites qu’on a tendance à oublier.

Car ce chiffre global ne donne pas beaucoup d’informations sur le fonctionnement cognitif, et ne prend pas en compte certaines caractéristiques non intellectuelles très importantes comme des traits de personnalité, la motivation et la créativité. D’ailleurs, de nombreux psychologues refusent aujourd’hui de se baser uniquement sur le QI pour évaluer le potentiel d’une personne. »

Un point de vue confirmé par Christel Petitcollin, formatrice en communication et en développement personnel. « Officiellement, les surdoués représentent 2% de la population alors qu’en réalité, ils seraient 15 à 30% car ces tests n’évaluent que la partie émergée de l’iceberg. »

Le QI est loin de remporter l’adhésion. Faut-il le supprimer ? D’autres mesures peuvent-elles le remplacer ? Selon Maria Pereira-Fradin, « le QI restera encore longtemps utilisé, mais il faut en combler les lacunes. Il y a un élargissement des moyens d’identification, mais qui n’a pas encore abouti dans les pratiques. Certaines caractéristiques non intellectuelles sont très importantes dans le phénomène : des traits de personnalité, la motivation et la créativité, que l’on peut évaluer. Le QI est une mesure d’intelligence globale intimement liée aux aptitudes demandées à l’école. Or, le haut potentiel ne se résume pas à cela. »

Des intelligences multiples

dame oiseau

En effet, des recherches scientifiques récentes aux États-Unis ont démontré que l’intelligence n’était pas unitaire mais plurielle. Pour le chercheur américain Howard Gardner, professeur à l’université de Harvard, il existe huit types d’intelligence : spatiale, verbale, kinesthésique, logico-mathématique, inter-personnelle, intra-personnelle, musicale et écologique.

Très influent dans la recherche sur les enfants surdoués, le psychologue américain Robert Sternberg considère, quant à lui, que l’intelligence comporte trois volets principaux : l’intelligence analytique – logico/mathématique, verbale, académique -, l’intelligence pratique et l’intelligence créative. Le haut potentiel peut se manifester dans n’importe lequel de ces domaines. Et la créativité ressort comme un des axes de recherche les plus prometteurs.

Pour l’américain Daniel Goleman, psychologue de formation, ex-enseignant à Harvard, aujourd’hui président de la société Emotional Intelligence Services, la notion habituelle d’intelligence néglige un aspect essentiel du comportement humain : nos émotions.

L’importance de l’intelligence émotionnelle

Puisant dans les découvertes récentes de la biologie et de la psychologie, il a analysé les raisons pour lesquelles un QI élevé peut être un handicap et la maîtrise des émotions un atout. Self-contrôle, persévérance, motivation, respect d’autrui, aisance sociale sont quelques-unes des compétences qui définissent cette intelligence « autre » : l’intelligence émotionnelle. « Lorsque les sociobiologistes cherchent à expliquer pourquoi l’évolution a conféré aux émotions un rôle de premier plan dans la psyché, ils soulignent la prééminence du cœur sur le mental, explique Daniel Goleman.

Nos émotions nous aident en effet à affronter des situations et des tâches trop importantes pour être confiées au seul intellect : le danger, les pertes douloureuses, la persévérance en dépit des déconvenues, la fondation d’un couple, la création d’une famille. Chaque émotion nous prépare à agir d’une certaine manière ; chacune nous indique une voie qui, dans le passé, a permis de relever les défis de l’existence.

Les mêmes situations se sont inlassablement répétées au cours de l’évolution, et le fait que notre répertoire d’émotions soit inscrit dans notre cœur sous forme de tendances innées et automatiques atteste de sa valeur de survie.

Toute conception de la nature humaine qui ignorerait le pouvoir des émotions manquerait singulièrement de perspicacité. L’expression Homo sapiens, l’homme pensant, est particulièrement malheureuse si l’on considère le rôle majeur que, selon les scientifiques, les émotions jouent dans notre vie.

Comme nous le savons tous d’expérience, en matière de décision et d’action, l’intuition compte autant, sinon plus, que la pensée. Nous exagérons la valeur et l’importance de la raison pure, que mesure le QI, dans la vie humaine. Notre intelligence est pourtant inutile quand nous sommes sous l’emprise de nos émotions. »

Contrairement au QI, il n’existe pas de test simple permettant de mesurer l’intelligence émotionnelle. Bien que toutes ses composantes fassent l’objet de recherches importantes, certaines d’entre elles sont plus faciles à tester. L’empathie, par exemple, peut l’être, en demandant au sujet d’interpréter les sentiments d’une personne à partir de l’expression de son visage.

A la différence du QI, l’intelligence émotionnelle n’est pas figée. Au contraire, chacun a la possibilité de l’améliorer, pour peu qu’il apprenne à reconnaître et à utiliser l’ensemble de ses émotions. « L’injonction de Socrate – « Connais-toi toi même » – renvoie à cette clé de voûte de l’intelligence émotionnelle, poursuit Goleman. Il faut être conscient de ses propres sentiments au fur et à mesure de leur apparition.

Être dans la conscience de soi, cette attention permanente à son état intérieur. » Outre-Atlantique, quelques établissements scolaires ont déjà intégré des cours d’éducation émotionnelle aux disciplines déjà enseignées. Un programme qui offre un ensemble d’outils permettant de développer l’empathie, l’affection, la tolérance, la capacité de se mettre à la place des autres et une meilleure maîtrise des émotions.

L’intelligence perceptive

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Les « surdoués » émotionnels développent souvent une autre forme d’intelligence, pourtant moins connue : l’intelligence perceptive. De nombreuses personnes, sans oser l’avouer, ont développé d’incroyables capacités perceptives : intuition mais aussi hyperesthésie – terme scientifique pour désigner le fait d’avoir les cinq sens dotés d’une acuité exceptionnelle – précognition, extralucidité, clairvoyance…

« Plus vous êtes empathique, plus vous allez avoir la capacité de lire le langage non verbal et de capter des informations, assure Christel Petitcollin. De comprendre les autres au point de pressentir leur personnalité, leurs attentes et leurs pensées.

Les personnes que j’ai pu identifier comme surefficients, vivent aussi, bien souvent, des expériences inexpliquées : de la télépathie aux rêves prémonitoires en passant par des états extatiques de paix et d’amour pur, de sensation de communion avec la nature, et parfois plus : comme la capacité à percevoir les auras, à ressentir des entités et autres présences occultes, à se souvenir de vies antérieures, à se connecter à d’autres dimensions… »

Si ces capacités perceptives ne sont pas encore reconnues par la majorité de la communauté scientifique, certaines recherches tendent à démontrer leur existence et à changer notre regard sur l’être humain qui ne doit plus être simplement vu comme un cerveau sur pattes. Des recherches en neurosciences au Canada auxquelles collabore Corine Sombrun, écrivaine, compositrice, conférencière et exploratrice de la transe chamanique, vont dans ce sens.

« Des électroencéphalogrammes de mon cerveau ont été faits en état de conscience ordinaire puis en état modifié de conscience. Les résultats ont prouvé que la transe n’était pas juste une théâtralisation mais modifiait de manière spectaculaire le fonctionnement des circuits cérébraux, et activait des zones dites « perceptives » (limbiques).

Ce qui expliquerait pourquoi cet état me permet d’accéder à d’autres informations et, en quelque sorte, à une perception augmentée de la réalité. La grande aventure du XXIème siècle ne passera pas seulement par l’évolution des technologies mais aussi par la possibilité d’apprendre à découvrir l’incroyable outil que sont nos capacités perceptives.

Comme le dirait Antonin Artaud nous avons tous besoin d’atteindre « un peu de cette réalité qui nous manque », de réconcilier les différents aspects de notre intelligence pour devenir cet humain qui, je l’espère, sera bientôt aussi fier d’être un « perceptuel » qu’un intellectuel. »

Par Audrey Mouge chez Inress

Je pense trop, Christel Petitcollin Editions Trédaniel (Novembre 2010 ; 252 pages)

L’Intelligence émotionnelle, Daniel Goleman Éditions J’ai Lu (Février 2003 ; 504 pages)

 

58 réflexions sur “Les surdoués ne sont pas ceux que l’on croit

    • Et bien, j’ai appris à lire toute seule, dès l’âge de trois ans, j’ai toujours été la première de la classe mais cela était plutôt du à mon assiduité, qu’à une intelligence hors normes, d’autant que mes parents m’exhibaient tel un singe savant 😀
      Dans tous les tests de OI, je suis limite débile légère 😀 par contre dans l’IE (intelligence émotionnelle) je bats tous les records.
      Voilà, vous savez tout 😀

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  2. Re-Bonjour,

    Je m’interroge… Est bien ecris « Au Canada… »??

    Je demeure au Quebec… Je ne sais pas.
    Dans une autre province,probable est-ce cela?

    J’ai discuter souvent avec des gens de France entre autre, et ils sont unanimes : »Mais vous demeurez ou madame? Au Quebec? Mais vous avez une bonne avance… Je ne comprends pas… »

    Et moi de repondre idem..: »Je ne comprends pas aussi. »
    Ce n’est pas ce que je vois,j’entends ou comprends.

    Fort probable que s’il se passe de quoi ici,je ne suis veritablement pas au courant.
    Je sais qu’au Etats-Unis,en Suisse,en Allemagne,Luxembourg,et même en France… Ca bouge…

    Etrange… C’est drole,ca me fait rigoler…
    Au final… C’est ou ? :))

    Rever de notre propre Ile, nous l’a baptiserions…
    Post-Lemurie … Ou Post-Atlantide … (Bon rire) 😀

    Humour,humour…
    Bonne journee…! 🙂

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    • Il me semble pourtant, Karine que les Canadiens sont effectivement bien plus avancés que nous car en France le rationalisme indécrottable règne.
      Mais je crois que c’est davantage une question de personnes que de pays.
      Il est bon de trouver les gens qui nous ressemblent et on se sent bien moins seul. Et ils sont de plus en plus nombreux.
      Gardez votre humour et créez votre propre île 😀
      Belle soirée

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  3. Bonjour,

    je tiens à vous remercier afin d’avoir mis en lumière un côté fort réel, car j’ai remarquer que lorsque je vais voir ma psychologue, je ne dois pas discuter de ce côté, et pourtant l’esprit et sa santé est le domaine de la spiritualité (non pas la « sorte » de croyance, si je puis dire ainsi)…

    Toutefois, combien de fois, je me suis sentis « folle » ou « déconnectée » car justement avec le non- verbal, l’observation aigüe, la mémoire photographique, les sensations etc… j’arrivais à filigraner le tout et voilà… allez savoir pourquoi, je savais d’ors et déjà ce qui arriverais en lien avec un tel sujet.

    Quand j’ai oser en discuter avec ma psychologue, j’ai cru comprendre que rien n’est valide si cela n’est pas mis sur papier (idées arborescentes etc…) alors je me suis mise à la tâche… et j’ai créer une formule. Oui, même si cela vous paraît ridicule ou bizarre, je me suis dis : »Si ce monde fonctionne ainsi, alors soit. Je ferai , et j’ai fais. Et avec cette formule que j’ai intégrer depuis longtemps car faisant partis intégrante de ma vie (sauf sur papier) la marge d’erreur est quasi nulle.

    Et sur ce, j’ai bien entendu attirer l’inimitié, la jalousie, l’incompréhension, ou j’ai paru pédante, prétentieuse, arriviste, une femme qui se prends pour une autre (idée dont j’ai acheter longtemps jusqu’à temps que je me rende compte, comment est-ce possible, je sais qui je suis, et je n’est rien à leur prouver(?) avec mes forces et mes faiblesses) ainsi je sais fort bien que je suis moi(soi) même.

    Logique et au-delà, si ce terme en est de mise. Ma foi que j’ai souffert, à ressasser des questions de LEUR perceptions de qui JE suis.

    Comme : »Suis-je vraiment mégalomane ? », « Suis-je vraiment une prétentieuse ? », « Est-ce vraiment vrai que je vis que dans le domaine du fantasme ou de l’imaginaire etc… ? »

    Ce à quoi je me suis répondu après prise de conscience : »Non. »
    Ça fait de la peine de voir des gens penser ainsi et de te percevoir ainsi, et de te juger aussi ainsi.
    Alors qu’en fait je n’ai nullement cesser de leur dire : »Ceci vous aussi accessible à vous tous!! Ce n’est pas exclusif… je ne me sen spas comme une élite ou je ne sais trop…! »

    Où va l’égrégoria de l’imagination de ce monde parfois … Car ceci porte préjudice à des personnes qui sont authentique et qui ne demande rien sinon de ne pas être exclus ou ridiculiser.

    La collaboration est sublime avec le RESPECT comme base, et être VRAI avec soi-même c’est aussi l’être envers autrui. Qui peut dire, que cela , est hors de lui et nullement en lui ?

    C’est tous en nous et tout autour de nous, tous autant que nous sommes. Conscience dans la réalité et non dans la superficialité, et cesser de penser à place des autres quand le domaine nous échappe, ce n’est nullement un reproche, plutôt comprendre que si tu ne sais pas, alors apprends, cherche et tu trouveras. ce qui est donner à l’un est aussi donner à l’autre.

    Merci de votre lecture et Merci mille fois encore pour cette article qui est véritablement à jour.
    Et non, cet article ne vient pas gonfler mon orgueil plutôt réchauffer, apaiser, illuminer mon cœur .

    L’empathie … Voilà. Je pourrais développer des heures et des heures là-dessus (bon rire) je me retiendrai car tout de même… je ferai un roman et j’endormirai les gens (bon rire) 😉

    Bonne journée au 15 à 30 % de HP en ce monde ainsi qu’au reste dont nous respectons tant, car c’est c’est grâce à vous, votre fonctionnement que j’ai pu observer et justement développer, apprendre à l’infini et la beauté ? Est que ça continue chaque jour… toujours quelque chose de nouveau… !!

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    • Chère Karine,
      Très touchée par votre témoignage et ravie que vous ayez trouvé dans cet article la confirmation de ce que vous vivez au quotidien mais si difficilement car non seulement, vous êtes incomprise par la majorité de gens mais vous avez souffert d’être objet de critiques ou des railleries.
      Dans nos sociétés et surtout en France, ce genre de perception intuitive est rejeté car non appuyé par des preuves scientifiques (qui existent pourtant) et assimilé à des élucubrations malsaines.
      Vous avez eu le courage de vous « tester » et vous savez que vous pouvez vous faire confiance.
      Continuez, vous n’êtes pas la seule, simplement, les gens rejettent tout ce qu’ils ne comprennent pas.
      Merci encore et soyez la bienvenue ici…

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      • Bonjour Elisabeth,
        Je vous remercie pour votre accueil chaleureux.

        En effet j’ai passer par le passage de la souffrance, parfois encore…Qui a dit que la vie est facile? À part celui qui l’a veut facile…C’est tout autre. Car je dois me tenir droite et avancer comme tous(tes).
        Je ne suis hélas pas une scientifique, autrement je saurais prouver selon les dites « manières du fonctionnement de ce monde » (je n’aime pas dire « prouver » car nombreux disent : »Tu n’as rien à prouver! » et inversement et/ou insidieusement, « De quoi tu parles, prouve-moi le donc! ») Cependant s’il faut se fier à ce monde, et tout ce qui peut en sortir, alors là, nous n’en avons pas terminer … cela va de soi.

        Soit, car justement tout ceci est explicable s’il y a un échange respectueux et sain ni plus ni moins. Ce qui ne serait pas qu’à « notre » avantage, aussi le leur. Démystifier ce côté longtemps garder occulte (cacher) et qui, serait une avancée (en quelque sorte, dans ce domaine) .

        S’ouvrir l’esprit. Je sais par intuition que nombreux savent, c’est probablement de la malveillance qui pour eux, représente « une raison valable » de ne pas approfondir plus qu’il ne le faut. Allez savoir. Ce à quoi je leur dirais : »D’accord, cependant ne laissez plus la désinformation et l’ignorance courir à notre sujet.J’apprécierai grandement. »

        Je garde espoir car certains scientifiques alliés avec des neurologues, bref, toute une équipe approfondissent, leur travaux demandent la manipulation d’objet, dont la technologie, et c’est normal. À l’aide d’un IRM(conçu à cette fin) ils peuvent étudier en temps réel ce qui se passe au niveau du cerveau. Encore là ceci demeure dans le domaine du « tangible, concret » l’homme fonctionne avec certitude. Ce qui est bien. Excepter que celui-ci délaisse (ou vit un déni… ou probablement une frustration, cet état d’être existe certainement et cela ne doit pas être agréable) le côté émotionnel, le côté « esprit » … Comment arriver à voir et/ou mesurer, donc étudier l’Esprit ?

        Et le fonctionnement de la conviction (ou autrement appeler foi) qui n’est qu’en fait le produit de l’Esprit chez l’humain qui focus. Qui canalise. Tant et si bien que la pensée …. Crée. Encore faut-il appliquer, autrement c’est vain. Cependant, tout n’est pas toujours visible. De là, ce qui représente une probabilité de risques, qui n’est point accepter. Je comprends. Excepter que dans l’étude au sens observation, d’une personne étant ainsi, sur du long terme, ils verraient bien… que rien n’est sorcier. L’histoire en elle-même démontre que ce phénomène n’est pas nouveau. En Égypte les sages repéraient ses enfants très tôt afin de leur enseigner. C’est prouver. Jésus, Bouddha… etc… Si ce n’est pas des Esprits éclairées, ultra empathique, ultra sensible, ultra émotif, qui ont eu une immense compréhension de ce monde (vision global)… Ceci aussi est prouver. Noir sur blanc. Ce qui se passe aujourd’hui, selon moi, c’est une montée en flèche de naissance et/ou d’êtres ainsi fait (dans leur manière de penser, d’être). Ce n’est pas que dans la penser, c’est aussi dans l’agir. Et qui plus est, nous ne voyons pas l’intérêt de porter des masques, de faire semblant et ni de paraître, d’attendre des gloires etc…

        Tout aspect en nous est développable, logique l’être humain évolue et du coup, son cerveau (physique) transmute, change, se modifie. Avec comme élément, citer dans votre article « l’empathie » d’autre comme la résilience, le lâcher-prise, etc…

        J’en suis venu à croire que nombreux ont développer une crainte (alors que la peur n’existe pas)envers eux-mêmes … « Et si je baissais les armes, et que j’appliquerais ceci, deviendrais-je vulnérables? » Alors le réponse est « Ha non… il n’en n’est pas question.! » FUITE.

        Cependant l’évolution de l’être humain et ce, peu importe qui s’appelle qui et sa notoriété etc… n’y peut et n’y pourra rien. C’est ainsi depuis la nuit des temps. Oser défier un principe naturel de l’univers…(?) et qui ne concerne pas que les êtres humains …mais tout êtres vivants?
        Peine perdu.

        En vérité, les HP ont une avance sur eux, et ceci n’accepteront pas ou ne reconnaitront pas (orgueil) tant et aussi longtemps que l’évidence ne leur sera pas mis en face, et même encore… c’est alors que la nature arrive … et appliquera comme celle-ci l’a toujours fait (un peu comme dans les cas où l’homme est dans le déni de soi) …

        Pourquoi se rendre jusque là ? Je n’en sais rien. La bêtise humaine fait ralentir … hélas… ils useront de paroles et de termes si convainquant allant parfois à la condescendance (afin d’avoir un impact plus menaçant et/ou sérieux) afin que ce monde (au sens global) se replis sur eux-mêmes, se croyant vaincu.

        Je sais que cela se fera qu’on le veuille ou non. Qui est au-dessus de tout, afin d’arrêter l’évolution normal d’une suite logique, en ce qui à trait l’être humain?
        Exemple (retournons en arrière) C’est un peu comme si je dirais à l’homme de Neandertal : »Non, tu n’évolueras pas vers l’homme de Cro-Magnon, tant et aussi longtemps que je n’aurais pas la preuve tangible que tu le peux. »

        Et si je veux…je peux.(en 2013) Tout comme, tout zèbre, HP etc… Nous sommes ce que nous sommes et n’avons absolument rien à se sentir anormaux. Qui, de l’extérieur à nous peux venir nous dire, nous dicter, avec LEUR intérieur que NOTRE intérieur n’est pas réel…??

        Alors là, ça dépasse la fiction 😉
        UNUM SUMUS voilà. 🙂 Ni meilleur…ni pire !

        Encore merci à vous Elisabeth :))

        Bonne journée à tous !!

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        • Merci, Karine, je vois que tout cela vous tient vraiment à cœur. Mais vous savez, les gens qui croient, n’ont pas besoin de preuves et les autres ne seront jamais convaincus. Alors, viviez en votre justesse, vous n’avez pas à vous expliquer devant qui que se soit.
          Bon dimanche 😀

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    • En réponse à Yveline Glaude-Brécy.
      Je suis d’accord avec vous. Surtout en lien avec l’intelligence perceptive !! ENFIN !! Je pourrai désormais expliquer lorsque certains se moquent de ce que je perçois… et qu’au final cela arrive… Terminer les railleries. Libérateur. Merci mille fois plutôt qu’une, pour cette article.

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  8. Je trouve dommage que chaque fois qu’il est question d’intelligence…de réussite scolaire ….etc….les gens deviennent pointilleux parce qu’ils n’ont pas cette facilité…
    Mes 3 enfants ont tous fait l’université …et ils ne se prennent pas pour quelqu’un d’autre…ils ont aussi cette intelligence…
    Je trouve que c’est un manque de respect et d’ouverture devant ces intelligences….quand plusieurs d’entre eux et elles nous sauvent la vie : médecins…scientifiques…chercheurs …etc ….
    Ils ont trimé dur pour leurs diplômes ….

    Je connais des  » bollés  » ….qui se font  » blaster  »…..parce que le monde pense qu’ils se prennent pour d’autres ….
    Sûrement que l’inverse existe aussi …les moins doués aussi se font niaiser …

    Bien sûr je suis entièrement d’accord avec l’importance de l’intelligence du Coeur …comme je te le disais dans un précédent commentaire ….

    Alors…tâchons donc de rester dans cette lignée d’intelligence du Coeur …et d’apprécier les différences humaines ..quelles qu’elles soient…..
    C’est si beau l’Harmonie …

    P.S. SUPER INTÉRESSANT……

    À bientôt chère dame …
    Bon weekend ….

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    • Chère Manouchka,
      C’est une belle synchronicité car je viens justement de répondre à Marie-Hélène, en lui donnant l’exemple d’un médecin ou chirurgien, qui ne pourrait jamais sauver les vies, s’il n’avait pas fait d’études…
      Le sujet est fort complexe et il est difficile de donner des priorités, peut-être juste dire que toute forme d’intelligence est à apprécier, du moment où elle est accompagnée d’une ouverture du cœur et d’autres qualités humaines.
      Seuls les imbus de leur savoir, pouvoir, valoir ne trouvent aucun respect à mes yeux, surtout parce que c’est ce qui prime dans nos sociétés.
      En tout cas, je suis certaine que tu as éduqué tes enfants dans le sens des vraies valeurs.
      Comme tu le dis : apprécions les différences et vivons les en harmonie, en nous enrichissants les uns des autres.
      Tendresses et excellent week-end à toi

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  9. Bon ben je ne dois pas être surdouée parce que j’avais écrit deux coms hier soir et j’ai du faire une fausse manœuvre, ils ne sont pas enregistrés.
    Bon, pas grave. Du coup je ne sais plus trop ce que je te disais.
    Ah si…que je n’aimais pas les évaluations. Que c’était réducteur pour l’individu et le considérer comme une machine. Pour en connaitre les performances possibles.
    L’être humain n’est pas sur terre pour être performant ou classé selon ses performances par rapport aux autres. Je ne reviendrais pas sur l’intelligence du cœur, déjà soulignés par d’autres mais je dirais juste que l’important c’est l’intérêt que l’on est capable de porter sur ce qui entoure. L’émerveillement.
    Enfin voilà à peu près ce que je disais hier…

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    • Je te redemande pardon, j’ai donné l’explication de la non-parution de tes commentaires. Ils sont modérés et n’apparaissent pas avant…
      Toujours d’accord avec toi dans l’absolu mais prenons l’exemple d’un médecin… il a beau avoir toutes les capacités de l’émerveillement, s’il n’a pas fait d’études, jamais il ne pourra soigner les gens.
      Après, ce qui différencie le bon praticien, est effectivement sa capacité de voir ses patients avec son cœur, comme des êtres humains et non pas les parties malades, de savoir s’émerveiller devant les capacités d’auto-guérison mais sans sa technique, il est impuissant à reconnaître la maladie ou opérer, dans le cas d’un chirurgien.
      C’est un exemple comme les autres mais il y a tant de métiers où une sorte de performance est nécessaire.

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      • Ne t’inquiète pas pour la non parution « immédiate »..cela m’a donné le plaisir d’y revenir.

        Oui, je comprends ce que tu veux dire et c’est encore plus vrai dans les professions en rapport à l’humain mais je ne pensais pas à l’évaluation au sens capacité à mais l’évaluation qui classe, qui met en compétition. C’est clair qu’il faut prouver que l’on a acquis l’expérience et compris théorie et pratique.

        Non, je pensais tu vois au bulletin de note avec classement pour les écoliers ce qui peux émuler mais aussi décourager, ou encore à la chef de service qui te suit avec son cahier pour voir si tu as un bon pourcentage de rendement(c’est à dire qu’en une heure tu fais le travail de deux!) par rapport aux objectifs de l’entreprise et où tu te place par rapport à ta voisine de vestiaire…des fois que ton smic, tu le volerais!

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        • Ravie de voir que nous nous sommes bien comprises, effectivement, ce genre d’évaluation ne permet aucune progression et a même tendance de niveler par le bas. Dès la naissance, l’enfant doit être dans la norme et au moindre écart, on l’envoie chez le pédopsychiatre.
          Et cela nous poursuit toute notre vie, dans cette société qui nous robotise et tente de faire des gens des numéros.
          Il faut une sacrée dose de résistance pour ne pas se laisser faire…
          Heureusement, les personnes, comme toi apportent l’essentiel : un supplément d’âme…
          J’ai adoré ton dernier poème, je les aime tous d’ailleurs, ils me font rêver et réfléchir en même temps.
          Merci, Marie-Hélène…

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  10. J’aime beaucoup ce sujet, j’avais lu, il y a quelques années, l’intelligence du coeur d’i. filliozat. Je crois que nous sommes nombreux à nous reconnaitre dans ses descriptions, et j’avoue qu’il m’a fait venir les larmes aux yeux plus d’une fois … comme si il y avait une reconnaissance enfin de tout ce que je pouvais ressentir …

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  11. Je suis contre les évaluations et quelles qu’elles soient.
    Ce besoin de classer, de mettre dans des catégories comme de vulgaires marchandises.
    L’Intelligence c’est aimer, regarder, écouter surtout, porter de l’intérêt à…. Les connaissances, c’est le temps que l’on veut bien passer à enregistrer des choses. et l’important pour moi n’est pas le savoir faire mais le savoir être.

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    • Chère Marie-Hélène,
      D’abord, je te prie de bien vouloir me pardonner, tes commentaires sont là, je n’ai pas eu le temps de les modérer, donc ils n’apparaissent pas.
      Cela ne m’arrive jamais, désolée que cela soit tombé sur toi.
      Dans l’absolu, je suis entièrement d’accord avec toi, toutes les évaluations sont fausses et inutiles quelque part mais difficile de s’en passer dans certains domaines D
      Mais au fond, je pense aussi que : « l’important pour moi n’est pas le savoir faire mais le savoir être ».

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      • C’est tellement facile de bien comprendre tes articles, tes mots. Tout les éléments se concentres les uns aux autres, tout s’amalgame parfaitement. J’aime lire chez toi. Comme il doit être intéressant de prendre un café en ta compagnie pour discuter de pleins de sujets.

        Je ne suis pas bavarde souvent mais il fallait que je te le dise car souvent en plus de porter à réflexion, tu fais que certaines composantes de rébellions se dissipe plus rapidement.

        Je t’apprécies grandement

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        • Je t’apprécie énormément aussi, Marie et je prendrai ce café avec grande joie, je suis sûre, qu’effectivement, nous ne manquerions pas de sujets de discussion.
          Tu n’es pas bavarde mais ce que tu écris sur ton blog est magnifique.
          Je te remercie pour ces appréciations, si cela t’aide d’une manière quelconque, je suis pleinement récompensée.

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  12. Le précédent article, comme le début de celui-ci, ne m’inspirait guère car, dans le milieu scolaire on entend trop souvent dire qu’un élève qui nous pose sans cesse des problèmes (parce qu’il ne veut pas apprendre le contenu du cours), est dit surdoué par sa famille ou par les administratifs de l’établissement… mais la deuxième moitié du texte ci-dessus m’interpelle; outre le langage du corps (on n’a pas eu à attendre le feuilleton « Lie to me » pour en être informés!) existe effectivement cette dimension « perceptuelle »… qui fait qu’on s’attache souvent à l’élément perturbateur du groupe parce qu’il le transforme.
    C’est un peu comme sur la route: quand on envisage les véhicules comme des entités sans vouloir voir les conducteurs à travers les pare-brises, on distingue très bien la voiture agressive, (celle qui nous pousse, nous presse, nous double en nous mettant en danger), de la mémère qui partage volontiers la voie avec nous, l’élégante racée, rapide et mondaine, de la travailleuse, pressée mais respectueuse…
    Pardon pour ce long commentaire. Tu peux couper tout ceci et ne garder que cette pensée:l’expression de mon intérêt pour ces capacités « perceptives » désignées dans ton nouveau sujet d’étude.

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    • Chère Véro, ton commentaire n’est pas long et j’y trouve un grand intérêt. D’ailleurs, je ne me permettrai jamais de ne pas laisser toute la place aux personnes, qui comme toi, apportent des idées neuves, donnent des exemples de la vie courante, surtout dans les domaines que je connais mal (comme l’éducation).
      La mention du langage corporel est très juste, vu que 80% du message passe par là, merci de l’avoir évoquée. Comme cet élément perturbateur qui peut être facteur du changement.
      J’aime aussi beaucoup le passage sur les voitures… tes commentaires sont vraiment originaux et apportent un éclairage nouveau, alors, merci encore et n’hésite surtout pas de revenir nous livrer les fruits de tes réflexions si riches.

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  13. Et bien c’est fou,certaines choses me parlent aussi. Je n’ai donc pas choisi mon métier au hasard alors.
    Tu me confortes dans ce que me dit une amie très chère » c’est l’intelligence du cœur qui compte »

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      • Je me demande si vous avez passe un QI chez psy qualifie, si oui j’imagine que c’est un myope qui lisait votre rapport en oubliant ses lunette, Ceci dit que je vous trouve remarquable et si aux fêtes il y’a des gens qui envient le rôle de père Noël, dans un carnaval moi j’envie l’habit de juge qui conclut tout débat avec sérénité et beaucoup d’autres qualités que l’espace restreint m’empêche de citer..

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        • Merci pour votre adorable commentaire, je reste toutefois lucide sur mon cas 😀 Mais pour vous (et me) consoler, je compense par les tests de QE (intelligence émotionnelle) où, sans me vanter, j’atteins les scores records…
          Rien de tel que l’ouverture vers l’autre, la justesse et les échanges bienveillants, dans la joie et la bonne humeur, surtout si les lecteurs sont aussi pleins de gentillesse que vous.

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  14. Très intéressant, et très vrai.

    Mais tout ne se quantifie pas en chiffres.

    Dans notre monde où tout se calcule, on voudrait mettre des étiquettes faciles, mais dans le fin fond de la personnalité,
    un mystère perdurera toujours.

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    • Entièrement d’accord avec toi, Flo, les choses primordiales dans nos vies ne peuvent pas se mesurer ou alors juste avec le cœur.
      Et ce mystère, que nous n’arriverons jamais à saisir donne tout l’intérêt à la vie.
      Merci pour tes belles et justes paroles.

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  15. Enfin !!! Ce n’est pas trop tôt !!!
    Interessons nous à l’intelligence créative ! Ces possibilités de l’être humain ont été bien trop souvent mises de côté. Les entreprises vont sans doute enfin recruter des créatifs avant d’être de purs scientifiques.

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    • Et voilà notre douce Biche toute remontée…
      Tu ne t’en doutais peut-être pas mais ce sujet me tient autant à cœur qu’à toi 😀
      D’après mes infirmations, la tendance est au développement de la créativité, qui en prime n’est pas inconciliable avec des esprits scientifiques, comme nous en avons de nombreuses preuves.

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    • Cela me fait beaucoup de peine d’apprendre cela, Annick. Toutes ces belles qualités sous-estimées, j’espère qu’elle a tout de même pu en faire profiter quelques-uns et en tout cas, je suis sûre qu’elle te les a transmises car je les vois et les apprécie tant chez toi.
      Merci pour ce témoignage très personnel…

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  16. Ma perplexité se lève après la lecture de ce texte… Je pense que pour développer nos capacités perceptives, et notre côté « surdoué » émotionnel, il faut taire le mental, le côté analytique. Ce dernier m’a été bien « utile » pour me protéger face à cette hypersensibilité qui capte toutes les ambiances extérieures., qui m’a mise en fragilité, et celle-ci ne faisait pas partie de notre société. Plus facile peut-être d’être un intellectuel qu’un perceptuel. On est toujours chamboulé et la maîtrise des émotions est ardue… J’aurais aimé avoir, enfant, des cours d’éducation émotionnelle!!! et apprendre à être soi-même, sans tous ces masques et ces mécanismes de protection difficile à lâcher…et développer notre chère intuition si présente.
    Merci Elisabeth pour le partage.

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    • Je l’espérais, Marylaure, que la lecture de cet article allait t’être bien plus facile, que celle du précédent, qui a éveillé un certain malaise…
      Tu as raison quant au mental, juste qu’il est impossible de le faire taire, il y a juste des techniques pour le calmer et le remettre à sa vraie place. La vie d’un être hypersensible est très dure dans cette société tellement déshumanisée, qu’effectivement il est nécessaire d’élaborer certains moyens de protection.
      Nous sommes si nombreux à souhaiter que les écoles apprennent aux enfants à développer leurs potentiels, à la place de toutes ces choses inutiles mais malheureusement, elles ne cherchent qu’à uniformiser tout le monde. Alors, il reste des parents ou un travail que nous faisons à l’âge adulte.
      Je souhaite que le tien soit efficace, sinon, cela prend bien trop d’énergie et peut causer des grandes souffrances.
      Merci pour ton autre merveilleux témoignage.

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  17. Bonjour Elisabeth ,
    Bonne question pour les surdoués , j’ai connu il y a quelques Années un surdoué doté de facultés intellectuelle hors du commun un vrai Google humain , mais du coté senssibilité amour Amitié , famille ect .. c’était un nul , a 48 ans une belle situation mais abandonné de tous tellement infecte avec les autres , a 52 ans il est mort d’un cancer car pas soigné ,
    alors surdoué veut pas dire intelligent
    bisous mon amie bonne APM …

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    • Bonsoir Étoile,
      Merci pour ton témoignage, effectivement, les surdoués ont souvent des vies difficiles et leur quotient intellectuel peut s’accompagner de maladies ou même des troubles psychiques. Alors, je préfère les autres formes d’intelligence, surtout celle du cœur.
      Je t’embrasse et te souhaite une belle soirée

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  18. Merci elisabeth ne nous rappeler que l’intelligence peut prendre plusieurs formes ! l’intelligence émotionnelle mériterait d’être mieux reconnue !!!et valorisée ! surtout à l’école vivement des cours et des ateliers sur l’empathie ! c’est bon ici de savoir que notre  » claireconnaissance « ; celle qui vient du coeur est une forme d’intelligence ! je vais faire une formation sur l’intelligence émotionnelle en juin je te raconterai 🙂

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    • Cela arrive, Sandra, l’intelligence émotionnelle commence à être de plus en plus reconnue, heureusement car souvent elle compte bien plus que le QI. Moi aussi, je rêve des écoles où on enseignerait aux enfants comment devenir des êtres épanouis et conscients.
      Quant à l’intelligence du cœur, nous en parlons depuis longtemps et bientôt, elle sortira de ces cercles fermés.
      Il sera sûrement passionnant ton stage et j’espère que tu nous écriras une suite d’articles, ce sujet me passionne.

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