Les fameux adages Shadoks

shadok

Je pompe donc je suis

Ils avaient mis au point des pompes spéciales pour le cas où il n’y avait pas de problèmes du tout. C’est pourquoi :

pompS’il n’y pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème

Pour ceux que la technique intéresse, disons que, quand on pompait avec ça, non seulement il ne se passait rien, comme avec une pompe Shadok ordinaire, mais plus om pompait, plus il n’y avait rien qui se passait. D’où :

Il vaut mieux pomper même s’il ne se passe rien que risquer qu’il se passe quelque chose de pire en ne pompant pas

C’est quand même une sécurité !

En essayant continuellement, on finit par réussir  Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche

Dans la Marine :
Quand on sait pas où l’on va, il faut y aller ! …et le plus vite possible

Dans la Marine on ne fait pas grand chose mais on le fait de bonne heure

ou encore,

Dans la Marine il faut saluer tout ce qui bouge et peindre le reste

Dans la Marine, c’est un principe :

marteauPour qu’il ait le moins de mécontents possible il faut toujours taper sur les mêmes

La plus grave maladie du cerveau c’est de réfléchir

ou encore :

Je dis des choses tellement intelligentes que le plus souvent je ne comprends pas ce que je dis.

La vérité c’est qu’il n’y a pas de vérité (y compris celle-ci)

Si ça fait mal c’est que ça fait du bien !

Le bon sens est la chose au monde la mieux partagée…  la connerie aussi !

Il vaut mieux mobiliser son intelligence sur des conneries que mobiliser sa connerie sur des choses intelligentes

Avec un escalier prévu pour la montée on réussit souvent à monter plus bas qu’on ne serait descendu avec un escalier prévu pour la descente

Excusez moi ! J’ai oublié que j’étais amnésique

Dormir me fatigue

Je crains le chaud, le froid, le sec et l’humidité

On n’est jamais aussi bien battu que par soi même

 

Les grandes inventions Shadoks :

Le parapluie pour temps sec

39 réflexions sur “Les fameux adages Shadoks

  1. A l’époque, je ne les aimais pas (parce que mes parents ne les aimaient pas……!) Je ne les ai découvert que tardivement, et c’est un miracle de fraicheur, de rébellion..maintenant je les aime 🙂

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    • Comme quoi, nous nous laissons souvent influencer par les goûts de nos parents…
      Chez moi, la bande dessinée était proscrite aussi et je n’en ai jamais lu.
      C’est bien de pouvoir se libérer de ces influences et choisir par nous-mêmes. Merci, Marie

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  2. Je ne connaissais pas les shadoks ! j’en ai entendu parler bien sur mais pas de souvenirs … trop jeune sans doute … les devises sont extra ! a garder sous le coude comme on dit !

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