Les femmes, les maîtresses et les chiens

Une femme téléphone à son mari depuis son lieu de vacances :
–  Tout va bien ? Le chat est en forme ?
– Non, je suis désolé mais il est mort !
– Tu aurais quand même pu me ménager et me préparer à cette terrible nouvelle. Tu aurais pu me dire qu’il se promenait sur le bord du balcon, et… Bref. Et maman, elle va bien ?
– Elle se promenait sur le bord du balcon…

Un magasin qui vend de nouveaux maris vient juste d’ouvrir. A l’entrée  on découvre une brève description sur la manière dont fonctionne le magasin :
Vous n’avez le droit qu’à une seule visite. Il y a 6 étages.
A chaque nouvel étage, les qualités des hommes exposés augmentent au même titre que vous montez d’un étage. Attention ! Vous devez choisir un homme sur l’étage, ou vous pouvez monter d’un étage, mais en aucun cas, vous ne pouvez redescendre d’un étage sauf pour quitter le magasin.
Une femme entre donc dans le magasin pour trouver un mari.
Au premier étage, un panneau sur la porte dit : Ces hommes ont un travail.
Elle ne s’arrête pas et continue au deuxième étage, où le panneau sur la porte dit : Ces hommes ont un travail et aiment les enfants.
Au troisième étage, le panneau affiche : Ces hommes ont un travail, aiment les enfants et ont particulièrement belle allure. La femme se dit «  waow !  ». Mais son instinct lui suggère de continuer.
Elle arrive au quatrième étage et le panneau sur la porte dit : Ces hommes ont un travail, aiment les enfants, ont particulièrement belle allure et aident aux travaux ménagers.
« Oh mon Dieu, s’exclame-t-elle. Je peux à peine y croire ». Malgré tout, elle continue et monte au cinquième.
Le panneau dit : Ces hommes ont un travail, aiment les enfants, ont particulièrement belle allure, aident aux travaux ménagers et sont très romantiques. Elle hésite à rester… mais monte quand même jusqu’au sixième étage.
Le panneau dit : Vous êtes la visiteuse n°31 456 012. Il n’y a pas d’homme à cet étage. Il n’existe que pour vous prouver que les femmes sont impossibles à contenter.

Au supermarché, un homme semble perdu et court d’un coin à l’autre du magasin. Il est tellement préoccupé qu’il entre en collision avec un autre homme ayant le même comportement.
Le premier dit : Excusez-moi monsieur, j’ai la tête ailleurs. Je cherche ma femme.
Le second :  Aie ! Moi aussi je cherche ma femme. A quoi ressemble la vôtre ?  Elle s’appelle Emmanuelle. C’est une belle blonde aux yeux bleus, mesure 1,75 m, cheveux en bas de l’épaule, vêtue d’une jupette près des fesses, blouse blanche transparente, des gros seins, un soutien-gorge noir en dentelle bien garni et une très grande bouche. Et la vôtre, de quoi elle a l’air ?
Oubliez la mienne, on cherche la vôtre…

Une jeune femme est en pleine mauvaise passe à la table de roulette du casino. Elle a déjà perdu 5.000 Euros et il ne lui reste plus que 500 Euros en jetons. Au comble de l’exaspération, elle s’exclame : Quelle déveine, vraiment ! Je me demande bien ce que je dois faire pour avoir une chance de gagner ?
Un jeune homme qui se trouvait derrière elle tente de la calmer et lui suggère en souriant :  Et si vous jouiez votre âge ? Là-dessus, il s’en va.
Un peu plus tard, son attention est attirée par une grande agitation autour de la table de roulette. Peut-être a-t-elle gagné se dit-il. Il se joint à l’attroupement, fend la foule pour voir ce qui se passe et découvre, tendue sur le sol, la jeune femme évanouie. Il demande au croupier ce qui s’est passé, et celui-ci lui répond :
Alors là, je n’y comprends rien ! Elle a mis tout ce qui lui restait sur le 29, c’est alors le 35 est sorti, et là, elle s’est évanouie !

chien

Monsieur le commissaire, annonce ce mari éperdu, je viens vous déclarer la disparition de ma femme. Elle était sortie pour promener le chien et voilà une semaine qu’elle n’est pas rentrée à la maison.
Pouvez-vous me donner son signalement ?
Euh… Elle est rousse. Non, blonde… Pas très grande… Pas vraiment petite, non plus… Et elle a les yeux verts. Non, bleus… Non, verts, verts… Enfin je crois.
Bien, dit le commissaire en soupirant. Et le chien, il était de quelle race ?
Briard. Soixante-cinq centimètres au garrot, poil fauve clair, truffe noire, yeux marron foncés, légère cicatrice sous le menton, numéro de tatouage GAH 492.

Après plus d’un demi-siècle de mariage, Monsieur meurt laissant derrière lui sa veuve, et monte au ciel. Quelques temps plus tard Madame, elle aussi, s’en va au ciel… Elle retrouve son mari et court vers lui en lui disant :
Mon chériiiiiii, que c’est bon de te revoir !
Il lui répond : Fiche moi la paix, Monique, le curé avait été très clair : « jusqu’à ce que la mort nous sépare ! »

Un homme et sa femme dînent dans un restaurant très chic. Une superbe jeune femme arrive, va directement vers l’homme et lui accorde un long et doux baiser. Puis elle lui donne rendez-vous pour la soirée et quitte le restaurant.
L’épouse, énervée et courroucée, le regarde et lui demande :
Veux-tu bien me dire qui c’était ?
Qui, elle ? Répond le mari, mais voyons, c’est ma maîtresse !
Et bien, j’aurai tout vu, lui répond la femme, puisque c’est ainsi, je demande le divorce !
Écoute, je comprends ta réaction, commence le mari, mais il faut que tu réalises que si nous divorçons, tu n’auras plus de voyages, plus de courses dans les boutiques à Paris, plus de vacances d’hiver sur les plages de la Barbade, plus d’été dans les Montagnes Rocheuses, plus de Porsche ni de Jaguar, plus de club de yachting et de polo…
Mais c’est ta décision et je la respecte.
Lourd silence… Interrompu lorsqu’un ami du couple entre dans le restaurant, une superbe femme à son bras.
Qui est cette femme avec Jacques ? demande la femme.
C’est sa maîtresse répond le mari. La femme répond alors : La nôtre est plus jolie !

41 réflexions sur “Les femmes, les maîtresses et les chiens

  1. « La notre est plus jolie! » finit l’article en beauté XD MDR J’aime !!!
    Comme quoi l’argent… 🙂 hihi règle bien des problèmes ^^

    Puis le « jusqu’à ce que la mort nous sépare »! pas mal pas mal cette blague là XD

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  2. Je viens enfin de tout finir, j’étais dessus depuis hier ! Tu penses bien que « jusqu’à ce que la mort nous sépare » me ravit 😉 Merci Elisabeth pour cette belle parenthèse souriante 😉

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