La communication intérieure

La communication intérieure se manifeste par des messages que nous recevons de notre intérieur, sous forme de pensées, d’images, d’émotions et de sensations physiques. Voici quelques exemples : Vous est-il déjà arrivé de ne pas pouvoir dormir à cause de scénarios d’inquiétude qui trottaient sans arrêt dans votre tête ?

Vous est-il déjà arrivé de vouloir complimenter une personne que vous ne connaissez pas et soudainement bloquer votre élan lorsqu’une peur du rejet fait surface ? Vous est-il déjà arrivé de vous critiquer intérieurement parce que vous avez subi un échec ?

chat  lionNotre communication intérieure se reflète dans notre communication avec les autres. Les croyances et perceptions que nous avons et les émotions que nous ressentons se manifestent dans la tonalité de notre voix et dans notre langage verbal et corporel, cela est bien connu.

Les gens qui vous critiquent ont leur propre critiqueur interne. Les gens durs et intransigeants avec les autres le sont aussi avec eux-mêmes. Les gens qui vous motivent ont aussi leur propre motivateur interne et les gens chaleureux, leur propre chaleur interne.

De cette perspective nous projetons sur les autres ce que nous sommes et nous attirons dans notre vie des gens qui partagent nos croyances. « Qui se ressemble s’assemble » dit le proverbe.

Un exemple qui illustre bien la communication intérieure me ramène à l’époque où je pratiquais la pensée positive dans les années 70. Un exercice consistait à se regarder dans le miroir chaque jour durant 33 jours et exprimer à haute voix et avec le sourire la phrase «je suis une réussite».  

Chaque fois que je faisais l’exercice, j’avais dans ma tête une petite voix qui disait : « Tu sais très bien que ce n’est pas vrai ! » J’ai pratiqué la pensée positive durant de nombreuses années en essayant d’ignorer les conflits internes que cela causait en moi.

Je n’arrivais pas à solutionner ces dualités jusqu’au jour où j’ai découvert l’Ingénierie des Croyances de Base (ICB) et que j’ai appris à communiquer avec des facettes de moi qui s’opposaient à mes rêves et désirs. 

Qu’est-ce que l’ICB? C’est un outil de communication intérieure qui a été développé en 1982 suite à de nombreuses années de recherche par Elly Roselle fondatrice, de l’ICB et directrice du CBE College à White Rock en Colombie-Britannique. Elly Roselle a développé des outils pour communiquer efficacement avec des facettes de notre personnalité qui s’opposent à ce que nous voulons de la vie, afin qu’elles deviennent une force qui contribuent à la réalisation de nos rêves et désirs.

Les messages de notre intérieur parfois négatifs et parfois positifs nous indiquent si notre intérieur s’oppose ou supporte ce que nous voulons être, faire ou avoir de la vie. « Je veux bien me sentir rassuré et confiant face au futur, dit François, mais une partie de moi ressent beaucoup d’insécurité à ce sujet. » « Je voudrais bien réussir ma vie amoureuse, mentionne Carole, mais une partie de moi n’y croit pas. » 

Les recherches de Elly Roselle ont démontré que les messages conflictuels que nous recevons à l’intérieur de nous-mêmes qu’ils soient de nature psychosomatique, émotionnelle ou mentale, sont un reflet des croyances conscientes et inconscientes que nous transportons de génération en génération. 

L’ICB utilise la communication intérieure pour découvrir les croyances périmées et pour les remplacer par des croyances qui correspondent aux besoins de la personne d’aujourd’hui. Un changement de croyances produit un changement bénéfique au niveau physique, émotionnel, mental et spirituel.

La confiance remplace la peur, la joie remplace la peine, la certitude remplace le doute, etc. Le stress associé à un problème qui a été résolu disparaît et est remplacé par un bien-être intérieur. « Avant, mentionne Jean, je ressentais beaucoup d’insécurité face à la possibilité de perdre mon emploi; j’ai remplacé cette insécurité par une plus grande confiance en moi et dans mes compétences. »

Elly Roselle a constaté dans ses nombreuses recherches, au cas par cas, que notre esprit est subdivisé en centaines de sous-personnalités et que chacune d’entre elles communique avec la conscience par des pensées, des images (mémoires), des émotions et des sensations physiques. Chacune de ces facettes de personnalité peut s’exprimer intérieurement et extérieurement tant au niveau verbal que corporel (tonalité de la voix, langage du corps, etc.)

Afin de faciliter la compréhension, imaginez pour un instant que votre esprit est un village dans lequel cohabitent divers personnages. Vous y trouvez l’analyste, le rationnel, le rêveur, le logicien, le créateur, le douteur, l’émotif, le sensible, le sceptique, le colérique, le juge, le perfectionniste, l’invalidant, l’inquiet et des dizaines d’autres.

Chacun d’eux se manifeste grâce à un déclencheur externe (ou interne) avec des pensées, des images, des sentiments, des émotions et des sensations corporelles. Exemple : Lorsque le téléphone sonne (élément déclencheur) Jean ressent un stress interne immédiat. Lorsque Pierrette reçoit un compliment, elle rougit; à la vue de son ex-conjoint, Monique explose de colère; lorsque Mélanie parle à Victor de ses sentiments celui-ci se réfugie dans son analyse.

Face à des situations à haut risque Pierre demeure confiant; lorsque Madeleine rencontre son petit fils elle éclate de joie; etc. Selon Elly Roselle ce sont nos croyances conscientes et inconscientes qui prédisent notre réponse à diverses situations ou éléments déclencheurs de la vie. Étant donné que nous n’avons pas les mêmes croyances, une situation qui est perçue positivement par une personne sera perçue négativement par une autre.

Frédérick Pearls disait : « Puisque vous êtes conscient de vos pensées, vous êtes plus que vos pensées; puisque vous êtes conscient de vos émotions, vous êtes plus que vos émotions, puisque vous êtes conscient de votre corps, vous êtes plus que votre corps. »

Cette conscience, selon Elly Roselle « c’est le ‘Je’ qui vit dans l’ici maintenant. C’est le ‘Je’ qui ressent ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de soi. C’est le ‘Je’ qui peut communiquer avec diverses facettes de votre personnalité afin d’obtenir une information qui conduit à des changements durables. »

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Cela soulève toutefois un grand nombre de questions : Comment fait-on pour communiquer avec une facette de notre personnalité ? Comment fait-on pour savoir si les réponses obtenues sont les bonnes ? Comment fait-on pour savoir quelles questions poser ? Qu’est-ce que l’on cherche à découvrir ? Comment peut-on faire des changements permanents au travers de ce dialogue intérieur ? Ce sont ces questions et des dizaines d’autres auxquelles Elly Roselle a dû répondre.

Nous avons tous un réseau de communication plus ou moins complexe à l’intérieur de nous-mêmes. Ce réseau peut être efficace et fonctionnel où peut être embourbé par de nombreuses croyances restrictives. 

Comment savons-nous que notre réseau de communication intérieur est sain et fonctionnel? Lorsque celui-ci va dans le sens de nos aspirations, rêves et désirs; lorsque notre esprit est libre de toute forme de dualité dans ce que nous voulons de la vie; lorsqu’il n’y a aucune peur qui vient s’interposer à nos rêves et désirs.

Le point que je souligne est que nous pouvons apprendre comment communiquer avec des facettes de nous-mêmes de façon efficace et productive afin que notre intérieur nous supporte et nous encourage dans ce que nous choisissons d’être, de faire et d’avoir dans la vie.

Imaginez, pour un instant, votre intérieur comme un grand amphithéâtre et que vous êtes devant une salle remplie de personnages représentant chacun une facette de votre personnalité. Imaginez que vous dites haut et fort que vous avez choisi d’être heureux et en amour, et que votre monde intérieur vous applaudit.

Vous dites haut et fort que vous avez décidé d’être bien dans votre peau et encore une fois votre monde intérieur vous applaudit. En fait, imaginez une audience qui applaudit à toutes les décisions que vous prenez pour une meilleure vie présente et future.

Si vous avez un objecteur dans votre amphithéâtre qui essaie de vous convaincre que vous rêvez et que c’est trop beau pour être vrai, vous avez l’opportunité de discuter et de négocier avec lui sa collaboration éventuelle au changement.

Je crois sincèrement que si nous n’avions aucun objecteur interne au bonheur, nous serions tous spontanément heureux. Il en est ainsi pour l’amour, la sécurité, l’enthousiasme, la reconnaissance de soi et autres sentiments que nous voulons ressentir dans la vie.

Qu’est-il advenu de la joie de vivre, du rire, du plaisir et de la curiosité insatiable de l’enfance? Certains d’entre vous ont possiblement préservé tout cela mais, pour la plupart, ces émotions sont enfouies sous des croyances restrictives du genre : pour devenir adulte il faut renoncer aux plaisirs de l’enfance. Votre intérieur communique avec vous, vous pouvez communiquer avec votre intérieur il s’agit d’apprendre comment.

Répondez par écrit aux questions suivantes : 

1. Si je n’avais aucune limite qu’est-ce que j’aimerais être ?

2. Si j’avais la certitude que je vais être ce que je veux, comment est-ce que je me sentirais à cet instant même ?

3. Est-ce qu’il y a quelque chose qui s’oppose à ce sentiment à l’intérieur de moi ?

4. Si oui, que vais-je faire pour transformer cette objection en support interne ?

Par Richard Thibodeau

63 réflexions sur “La communication intérieure

  1. Bonjour Elisabeth,
    J’ai beaucoup aimé la description de l’amphithéâtre. Hier alors que j’exprimais ne pas aimer les cancans où les paroles qui se déforment au gré des chemins de transmission, j’ai donc pris la parole à ce sujet avec d’autres personnes directement concernées.
    Ma pensée actuelle : la communication intérieure avec moi-même, dans le foyer et avec l’extérieur. Cela fait beaucoup de choses.
    Je me pose beaucoup de questions quant à la communication avec les autres. Alors dans ce sens, je vais répondre à ton petit questionnaire :
    1. Si je n’avais aucune limite qu’est-ce que j’aimerais être ?
    Quelqu’un de moins bavard, ayant une voix douce et contrôlée non affectivement. En général c’est d’enthousiasme que le son de ma voix augmente, mais également en cas de conflits. J’ai déjà une voix qui porte naturellement que faire ?

    2. Si j’avais la certitude que je vais être ce que je veux, comment est-ce que je me sentirais à cet instant même ?
    Beaucoup mieux avec moi-même déjà.

    3. Est-ce qu’il y a quelque chose qui s’oppose à ce sentiment à l’intérieur de moi ?
    Un ressenti de totale incompréhension du comment faire ? Je ne trouve pas le mode d’emploi.

    4. Si oui, que vais-je faire pour transformer cette objection en support interne ?
    Et là je ne comprends plus.

    Je n’avais pas ce souci avant mon arrivée en France. Dans le passé, je n’ai jamais rencontré ce type de sentiments ou de problèmes. Je sais ce que je veux, oui, je manque de diplomatie oui.
    Je sors d’un isolement prolongé de dix ans, et suis propulsée dans la société par ma volonté pour essayer d’en sortir et maintenant rien ne va plus.

    Merci de m’avoir lue Elisabeth. Je viens de reprendre l’ouvrage de Salomé, « si je m’écoutais, je m’entendrais », je ne sais si c’est le bon ouvrage, car il s’agit de communication également en société.
    Je te souhaite un bon week-end.
    Gros bisous
    Geneviève

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    • Merci, Geneviève, pour ton témoignage et tes réponses sincères au questionnaire. Puisque, en ce moment, tu es en pleine interrogation et tu ne trouves pas « le mode d’emploi », voilà ce que je te suggère. Pour commencer, laisse de côté la communication avec l’extérieur car elle n’est que le reflet de celle avec toi-même, et c’est celle-ci qu’il est nécessaire de clarifier.
      Comme tu aimes l’image de l’amphithéâtre, essaye de te placer sur l’estrade et visualiser tous ces personnages qui habitant en toi, et repose la question : « comment faire ? » pour être cette personne douce qui s’exprime avec calme et clarté. Qu’est ce qui s’oppose ? Les émotions, comme tu le dis, surtout les conflits. Tu sais bien, que quand celles-ci nous emportent, c’est comme une digue qui cède et nous ne maîtrisons plus rien. Demande toi qu’est ce qui te fait devenir « le jouet » de tes émotions, déjà à travers tes contradicteurs intérieurs mais surtout par rapport aux situations qui te font perdre le contrôle.
      Souvent, ce qui nous énerve le plus chez les autres, n’est que le miroir de ce que nous portons en nous, sans vouloir l’admettre.
      Alors, observe toi, dans tes pensées, tes ressentis et note bien « les déclencheurs », externes (ou internes) avec des images, des sentiments, des émotions et des sensations corporelles.
      Ne te critique pas, accueille tout avec bienveillance mais sans complaisance, en faisant un constat le plus objectif possible… puisque tu aimes écrire, note le, comme un « journal de bord », cela aide à conscientiser…
      Tâche aussi de trouver ce qui a modifié la situation à ton arrivée en France, il y a aussi un élément qui a déclenché tout cela…
      Quand tout s’écroule, c’est souvent le meilleur moment de rebâtir… sur la seule chose stable… soi-même, et les livres c’est très bien mais rien ne remplace les expériences vécues.
      Voilà ce que je te propose, tu es libre de le faire ou pas… 🙂
      Bisous, Geneviève et doux week-end à toi

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      • Bonjour Elisabeth,
        Je te remercie pour ta réponse si lucide.
        Je comprends très bien ce que tu veux dire, et sans culpabiliser je sais que les réponses sont en moi. J’ai bien lu ton article qui m’a beaucoup plu. Je vais lire et relire ta réponse. Je puis prendre un cahier, comme tu le suggères. Cette nuit, j’ai mal dormi essayant de chercher l’origine ou les origines. Je suis très contente d’avoir lu tes deux articles. Cette approche m’ouvre une porte que j’ignorais. J’ai pensé à un « fait-divers » que j’ai vécu avant mon mariage et que j’écrirai sur mon blog. Pour le reste, je suivrai tes bons conseils de mettre sur papier ce que tu fais partager par cet article, ce dont je te remercie. Ce qui me faire rire de moi-même, c’est que dans le passé j’avais commencé à faire du théâtre et là, boum, je ne vois pas comment m’y prendre. 🙂
        Bref, cela en vaut la peine. Même si je me dis à moi-même, non cet évènement je m’en suis sortie, ce n’est plus important, tout va bien. Il semblerait que non, tout ne va pas bien. Je pense au harcèlement moral au sein du travail.
        Et puis il y a le stress au présent, vécu chaque jour et pour lequel mon corps me parle. Je me dis que je dois être forte, que je dois surmonter, que c’est possible.
        Un grand merci Elisabeth, je vais faire l’exercice que tu proposes. Je sais que je suis libre. C’est tout de même important de le rappeler, du moins c’est mon avis, cela fait du bien 🙂
        Bisous et bon dimanche à toi que j’espère ensoleillé.

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        • Je suis ravie, chère Geneviève que mes suggestions puissent t’aider, je sais combien il est difficile de subir toutes ces pressions en même temps mais essaye surtout de lâcher prise car plus tu te forces à obtenir les réponses, moins elles viendront, et il ne s’agit pas non plus de te perturber à ne plus dormir.
          Laisse venir, doucement, en écrivant, comme tu le dis, puisque cela t’aide beaucoup.
          Cela en vaut vraiment la peine et souvent, nos problèmes reviennent sous une autre forme… une sorte de test, pour voir si nous les avons réellement résolus.
          Sois ferme mais ne refuse pas tes faiblesses, elles sont les moyens d’acquérir la force véritable.
          Tu es libre, de faire aussi à ta manière, de prendre ce qui te convient ou inventer tes propres méthodes. Va à ton rythme et sois douce et attentive à toi.
          Je t’embrasse fort et reste de tout cœur avec toi…

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  3. Article magnifique !

    [ 1. Si je n’avais aucune limite qu’est-ce que j’aimerais être ? ]

    Serein. Par forcément heureux mais à l’écoute et en harmonie avec mes joies comme mes peines, mes craintes et mes peurs.

    [ 2. Si j’avais la certitude que je vais être ce que je veux, comment est-ce que je me sentirais à cet instant même ? ]

    Libéré, léger et insouciant.

    [ 3. Est-ce qu’il y a quelque chose qui s’oppose à ce sentiment à l’intérieur de moi ? ]

    Oui, ce que je n’accepte pas, ce que j’exclue de la vie, de ma vie comme n’en faisant pas partie.

    [ 4. Si oui, que vais-je faire pour transformer cette objection en support interne ? ]

    Continuer d’apprendre, d’observer et côtoyer des personnes qui transmettent tout ce qui peut me manquer.

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    • Réponses magnifiques 🙂 Je les aime beaucoup… effectivement, la sérénité, l’acceptation et la paix intérieure sont les meilleurs garantes d’un bonheur stable, indépendant des éléments extérieurs.
      Et puisque tu es conscient du travail à accomplir, tu atteindras cet état, j’en suis sûre. Juste une petite remarque, s’il est bon d’observer et de côtoyer les personnes « sages », n’oublie pas, que tu as toute une richesse à l’intérieur, et qu’il ne tient qu’à toi de la mettre à jour…

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  5. C’est édifiant. C’est comme écrire un roman. On crée des personnages à partir d’archétypes mais la grande singularité, c’est que nous en sommes les personnages. Ca donne envie d’essayer !
    Cela me fait penser aussi aux 4 accords toltèques de Miguel Ruiz.
    Bises

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    • Merci pour la justesse de ta remarque, Gaïa, effectivement, cette similitude avec les archétypes, que nous personnalisons selon notre vécu, notre approche et les moyens d’expression qui nous sont les plus familiers, est très juste. Après, tout est lié et différentes sagesses apportent juste un autre éclairage de la même vérité.
      Bisous

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  6. Magnifique cet article Elisabeth ( ils le sont tous mais…)
    L’idée d’utiliser une scène de théâtre et ses personnages, m’a particulièrement touchée …
    C’est génial …et sûrement très efficace ….Je vais essayer pour moi-même et ….. proposer ce petit exercice à mes élèves de chant …etc

    Très bonne semaine à toi
    Tendresse
    Manouchka

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    • Cela ne m’étonne pas, chère Manouchka, puisque tu te sers tant de ton imagination dans tes magnifiques histoires. Comme je le disais, dans une précédente réponse, les visualisations sont très puissantes car le cerveau ne fait pas la différence et prend les scènes imaginaires comme les vécues. Cela est beaucoup utilisé dans la thérapie, le coaching, y compris celui des sportifs du haut niveau, avec d’excellents résultats.
      Et tes cours, peuvent être aussi assimilés à de l’art-thérapie, alors, essaye 🙂
      Douce semaine à toi et toute ma tendresse

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  7. Beautiful article which deals with power of the subtle form of communication. From a Chinese parable « …… I could hear the unheard—the sound of flowers opening, the sound of the sun warming the earth, and the sound of the grass drinking the morning dew.” If you can spare a few moments do read my earlier post http://dilipnaidu.wordpress.com/2010/06/16/the-subtle-form-of-leadership/

    I now answer your questions:

    1. If I had no limits what I want to be? (I would like to be my real self)

    2. If I was certain that I will be what I want, how do I feel at this very moment? (I feel I need to practice more meditation to know myself.)

    3. Is there something that opposes this feeling inside me? (Yes my ego and the material world)

    4. If so, what am I going to turn this objection internal support? (Meditation)

    Merci beaucoup

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    • Thanks to you for this lovely and just parable and for your answers that I like.
      I do not, however, will agree on one point, the material world is not an obstacle to our development, because the soul may experience only through matter. You talk about feelings in your story, as well as the practical application in leadership.

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  8. Je ne t’apprendrai rien en te disant que ce billet me parle beaucoup, pour moi le changement de paradigme intérieur est la clé de beaucoup de choses et en particulier de notre bonheur ! Allez je me prête au jeu des questions 🙂

    1. Si je n’avais aucune limite qu’est-ce que j’aimerais être ?
    Artiste ça c’est sûr, je dirais écrivain ou chanteuse, non les deux en fait ^^

    2. Si j’avais la certitude que je vais être ce que je veux, comment est-ce que je me sentirais à cet instant même ?
    Puissante, apaisée et heureuse bien sûr.

    3. Est-ce qu’il y a quelque chose qui s’oppose à ce sentiment à l’intérieur de moi ?
    La peur essentiellement.

    4. Si oui, que vais-je faire pour transformer cette objection en support interne ?
    Dompter mon Diable et changer mon paradigme intérieur ! 🙂

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    • Chouette, quelles réponses ! Voici mes réactions :
      1. Artiste, tu l’es déjà, tes écrits sont merveilleux, et même si tu n’es pas publiée, tu le mérites largement… c’est peut-être juste une question de temps. La prochaine fois, tu chanteras, si tu veux bien, d’ailleurs, rien ne t’empêche de tourner un clip, qui fera un tabac sur Youtube… Sur tes propres paroles, de préférence 🙂
      2. Tu es sur la bonne voie vers…
      3. Tu avances malgré ou avec elle
      4. Et si tu libérais toute la puissance, le magnétisme et surtout les capacités alchimiques du Diable ?

      Bravo, Biancat, rien ne s’oppose, continue… No limit, tu te souviens ? 🙂 Bisous

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  9. On me dit souvent que je suis immature parce que je fais souvent ce que je veux. En fait on a tous une limite pour respecter ceux et ce qui nous entourent je pense. Par contre il y a encore 3/4 ans, j’aurais dit qu’il était impossible pour moi d’aller à un concert populeux, surtout au milieu d’une foule agitée.
    La société nous impose une « tenue » dont on se libère avec difficultés. Je suis considérée comme une marginale 😉
    C’est vrai que la petite voix en nous pose des blocages mais le système nous prive aussi de liberté. Pas facile de faire la part des choses sans explorer le fond de soi et s’immerger dans le monde.
    Wouah! Je vais bouger avant de me rendormir sur ce téléphone lol. Ma couture m’attend.
    Amities.

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    • Si tout le monde était « immature » comme toi, cela le rendrait plus beau, et les gens seraient plus libres et écouteraient davantage la voix de leurs rêves et véritables envies.
      Tu t’es donné les moyens de sortir du « moule », tu assumes, dans le respect de toi et des autres, et ceux qui n’ont pas le même courage tentent de te faire revenir sur les chemins balisés.
      Écoute ta justesse intérieure, tu es assez forte pour affronter le regard de ceux qui critiquent, sans comprendre et continuer sur la voie que tu as choisie. Vis ta vie, réalise tes rêves et déploie tes ailes, douce Fée.
      Bisous

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        • Alors, je formulerai différemment. Nous vivons dans cette société, et pour moi, ce n’est pas un hasard. Nous conservons le pied dans le monde, d’une part, parce que ce n’est pas en nous marginalisant, que nous pourrions changer des choses. Souvent, cela nous pèse mais c’est aussi, en montrant qu’il est possible de faire différemment, que nous pouvons conserver nos valeurs et notre intégrité, tout en insufflant le vent de l’évolution.
          Peu de gens ont ce courage mais tu en fais partie, et en plus tu aimes ça 🙂
          Bisous, ma douce Fée

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  10. oui comme on dit « un mal pour un bien »
    je suis consciente de tout ce qui m’arrive, j’ai lâché prise il y a plus de deux mois et il suffit de peu pour rechuter … mais je relève déjà la tête ce matin, les larmes laissent les yeux humides mais l’envie de sourire revient peu à peu
    j’ai encore beaucoup d’amour à donner 🙂
    je t’embrasse avec tendresse – merci Elisabeth

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  11. Faisons souvent de doux silences,
    pour laisser notre intérieur nous parler.
    Il faut l’écouter !

    Bonne fin de semaine !
    Bonne fête des mères !
    ________/)______./¯ » » »/’)
    ¯¯¯¯¯¯¯¯\)¯¯¯¯¯ »\_„„„„\)

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  12. Cette petite voix , ce petit diable installé sur l’épaule qui chuchote à l’oreille fais pas ci, fais pas ça , c’est mal , n’appartient pas à notre entière personnalité mais un héritage de notre éducation familiale, culturel ou religieux , voir d’un traumatisme survenu dans l’enfance . Mais ce petit diable à défaut de pouvoir le faire partir est apprivoisable. On reconnait sa voix quand il se présente. Il faut lui dire qu’on ne l’écoutera pas car il n’est pas notre bon guide . Bon week end Elisabeth .

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    • Une si belle image, j’adore 🙂 Comme tu dis, ce petit diable est un héritage dont il vaut mieux nous défaire…
      Et même, s’il restera toujours sur notre épaule, c’est à nous de décider de le reconnaître, l’apprivoiser, voire l’envoyer vers ses semblables 😛
      Merci, Zenblogueur, tu es bien digne de ton pseudo… excellent week-end à toi

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  13. La pensée positive qui prend en compte l’avis de tous les habitants de mon « village » pour pouvoir les mieux les gérer, voire leur permettre de s’améliorer…. M’interpelle davantage que la simple méthode « coué » sauce « fast food » américaine. Merci pour ce partage qui me fait réfléchir encore davantage. Bon je te laisse faut que je discute avec mes habitants et il y a du boulot ! 🙂

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    • Entièrement d’accord, Ladyelle, j’ai déjà exprimé, dans une autre réponse, ma méfiance envers la « pensée positive à l’américaine » et ta « sauce fast food » est encore meilleure 🙂
      Belle et constructive discussion avec ton petit monde intérieur, entendre les « opposants », comprendre leurs motivations est le meilleur moyen de le rallier à la cause commune…

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  14. J’ai lu cet article avec grand plaisir et j’en partage l’essentiel. L’image de l’amphithéâtre est très suggestive. Je me pose bien les quatre questions, mais je ne cherche pas ni les réponses ni à les analyser. par contre, j’essaye de conserver la joie de vivre et la curiosité de mon enfance. ce sont elles qui m’animent dans ma vie et l’amour des merveilles de la nature et ma soif de connaître. En fait, je me sens plutôt bien et quand je suis en difficulté, j’essaye effectivement d’écouter cette voix intérieure. Pour moi, trop se concentrer avec sa volonté sur l’écoute de cette voix n’aide pas forcément à vraiment l’écouter. Je suis pour la spontanéité et la confiance.

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    • C’est une très belle et juste approche, Jean-Michel, que de laisser venir les réponses, en état à l’écoute de notre voix intérieure mais sans efforts de volonté, juste en restant dans la joie, l’émerveillement, la curiosité et la confiance spontanée de l’enfant.

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  15. Bonjour Elisabeth
    oui bien sûr nous pouvons nous tutoyer avec plaisir
    je me suis endormie dans les bras de mon ange et j’ai passé une douce nuit
    si douce que ce matin en me réveillant je me suis sentie encore plus près de lui au point de vouloir le rejoindre … tout ce que je vis ces derniers temps me touche si profondément que j’ai tout silmplement envie de lâcher, je sens d’ailleurs mon rythme cardiaque diminuer …
    et puis je pleure donc c’est que ce n’est pas mon heure
    mon amour pour F. est le principal de mes soucis, je lui donne de l’amour à distance depuis qq temps et là je n’ai plus cette envie, cettte envie me quitte mais en me faisant pleurer donc je suis consciente que la période que je vis est transitoire mais Dieu qu’elle fait mal ….
    ce n’est peut être pas le lieu ici mais je souhaite te parler d’un don que j’ai développé depuis plus de 2 ans, je suis magnétiseuse et guérisseuse et je développe une communication avec ceux que j’appelle mes anges, mes guides aussi… les sentir auprès de moi si bienveillant me donne l’envie d’aller les rejoindre et je sais qu’ils me disent que je ne suis pas prête … vouloir un chemin qui n’est pas encore le mien et poursuivre ce chemin qui me fait si mal en ce moment voilà ce qui est le plus dur …. ma tristesse est aussi la leur je le sais mais je ne peux pas contenir mes émotions …
    merci de ta compréhension, de ton soutien et de ta gentillesse
    Bisous ❤ à bientôt bon we à toi

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    • Chère Fabienne,
      Je comprends ta souffrance et j’y compatis de tout cœur mais tu sais bien, que rien n’arrive par hasard, et que cette histoire qui te fait tant de mal, est aussi une très dure mais nécessaire leçon de vie, dont tu peux tirer les enseignements, surtout grâce à ta connexion avec tes Guides et Anges. Vouloir partir est compréhensible mais transmuter cette douleur te permettra de changer, et aussi de mieux comprendre ceux qui tu veux aider.
      Tu dis d’ailleurs que cette période est transitoire, alors, exprime toutes tes émotions, prend le temps de faire ton deuil et pense à tout le bien que tu peux faire, une fois que tu seras prête.
      Toute ma tendresse…

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    • Alors, j’en suis ravie… Merci, Marina, pour ton partage et bonne exploration de toutes tes facettes. Ne me fais pas rire avec ton âge, tu es jeune, et puis, il n’est jamais trop tard, nous apprenons jusqu’à notre dernier souffle…
      Et la confiance, comme l’amour de soi, c’est un travail de longue haleine… tu y arriveras

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  16. A reblogué ceci sur Man of Romaet a ajouté:
    Elisabeth writes: « Elly Roselle a développé des outils pour communiquer efficacement avec des facettes de notre personnalité qui s’opposent à ce que nous voulons de la vie, afin qu’elles deviennent une force qui contribuent à la réalisation de nos rêves et désirs ».

    « Les recherches de Elly Roselle ont démontré que les messages conflictuels que nous recevons à l’intérieur de nous-mêmes qu’ils soient de nature psychosomatique, émotionnelle ou mentale, sont un reflet des croyances conscientes et inconscientes que nous transportons de génération en génération ».

    MoR: « L’inventario del mio Maestro? Conosci te stesso, cioè le stratificazioni che abbiamo nella mente che vanno dall’età della pietra in poi »?

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  17. La communication intérieure ou l’art d’apprendre être en paix avec soi-même. Maîtriser ou dompter ses forces intérieures….bien que déjà savoir les reconnaître est déjà beaucoup. Je ne saurais expliquer pourquoi un a toujours confiance en lui ou est jovial alors qu’un autre est plutôt taciturne ou manque de confiance en lui? Je doute que quelle que théorie que ce soit puisse vraiment le faire..si ce n’est d’essayer d’en comprendre les circonstances…. mais trop souvent ce n’est que justification. Savoir comment on est c’est déjà beaucoup…. le comprendre est bien aussi….par contre l’expliquer est plus difficile.
    Mais savoir être soi est je pense à la base de tout….;-)
    Mes amitiés et bon week-end!

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    • Très juste, Kleaude, il est effectivement impossible de comprendre pourquoi certains naissent avec une joie de vivre tandis que d’autre sont accablés par la tristesse. Les raisons en sont si difficiles à saisir mais déjà, apprendre à se connaître pour devenir Soi est important.
      Et j’aime beaucoup cette définition : « La communication intérieure ou l’art d’apprendre à être en paix avec soi-même ».
      Merci et excellent week-end à toi

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  18. Merci Elisabeth pour ce nouvel article très intéressant …
    aux questions à la fin de l’article le premier mot qui m’est venu à ce que je voudrais être
    « un ange » 🙂 je voudrais être un ange …
    à moi maintenant de ne mettre aucune barrière à cet ange
    ce soir je suis un ange bien triste, je pense beaucoup trop à F.
    je vais donc aller me coucher avec l’image de ce que je voudrais être ❤
    je vous embrasse, merci Elisabeth

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    • Quelle magnifique idée, Fab… cet Ange est en vous et ne demande qu’à se manifester, alors, puisqu’il est venu, ne lui mettez pas de barrières…
      Nous sommes des Anges humains, alors, nous pouvons être tristes parfois, d’ailleurs les vrais, pleurent aussi pour nous.
      Demandez au vôtre de vous consoler et belle nuit dans ses bras.
      Je vous embrasse aussi, d’ailleurs, nous pourrions nous tutoyer, qu’en pensez vous ?

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  19. superbe simple et fort à la fois
    cela pointe du doigt la complexité mise en oeuvre qui s’oppose parfois inconsciemment à toute sorte de « pensée positive »
    et en même temps la simplicité de retour sur soi, pour voir qu’il n’y a pas grand chose à rien qui bloque réellement tout cela
    j’aime l’idée de se dire, comment cette partie de moi peut elle collaborer à cette vie sereine plutôt que d’en être le frein

    merci

    chaleureusement

    Frédéric

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    • La pensée positive « à l’américaine », comme je la nomme, a justement cette faiblesse de ne pas prendre en compte tous les conflits non réglés, ce qui fait que nombre des personnes s’en détourent, déçus du manque des résultats. Ce retour sur soi est indispensable, pour conscientiser nos blocages et, comme tu dis, faire collaborer ces parties « opposantes ».
      Merci à toi, Frédéric, mes amitiés chaleureuses

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  20. J’aime bien l’idée du village, puis celle de l’amphithéatre 🙂
    Cela m’inquiète un peu de m’imaginer si pleine de possibilités contradictoires, mais je dois reconnaitre que le quotidien prouve l’existence de tous ces « meneurs » que j’ai parfois bien du mal à accorder 🙂

    Bon W_E à toi Elisabeth

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    • Les visualisations sont une des meilleures méthodes appliquées en thérapie ou en en développement personnel car le cerveau les enregistre, comme une réalité. Nous avons tous du mal avec ce petit monde intérieur et ta grande sensibilité de l’artiste ne rend pas les choses plus aisées.
      Mais si cela te perturbe, tes créations en sont une magnifique expression et peut-être une forme de thérapie…
      En tout cas, elles me font cet effet à chacun de mes passages chez toi.
      Merci, Marie, pour la beauté que tu mets dans nos vies et doux week-end à toi…

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    • Merci, douce Fanfan… pour la suite, attends tu celle sur la communication intérieure ? Il n’y a en aura pas ou plus tard, si tu veux approfondir, il y a les livres, cités dans les articles précédents ou tu peux trouver plein de sites consacrés à ce sujet, en tapant Ingénierie des Croyances de Base.
      Tendres bisous et bon week-end à toi…

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  21. Hi, Elisabeth. I am in a hurry. This post is splendid. I will come back after my job is done plus a conference ce soir.

    One thing, before I go (or I comment later). May I reblog some of your posts?

    Ciao!

    Giovanni

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    • Bien sûr, Giovanni, vous pouvez rebloguer tout ce que vous désirez, c’est toujours un plaisir, et vous n’avez pas besoin de ma permission.
      Quels sont les sujets de vos conférences ? Certainement très passionnants. Merci et ciao 🙂

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      • Ce n’était pas une conférence, plutôt un discours d’un architecte artiste, Claudio Nardulli, lors de l’exposition d’œuvres à lui qui sont très particulières (« le marbre, du lourd, se fait léger et même devient dynamique et véloce »):

        « I Paradossi della pietra »: http://tinyurl.com/mvvrrae

        Des œuvres ou il ya a « fusion parfaite de l’art et de la science, avec les concepts philosophiques tirées des [Nardulli’s] voyages en Grèce, où la science et la philosophie, dans le passé – no need to tell you -, s’identifiaient ».

        Nardulli est aussi marbrier. Il a travaillé pour nous pendant des années: des très petites choses, to say the truth, mais assez pour le connaitre peu à peu.

        Son atelier, plein de charme, est situé sur l’Appia Antica. A coté on enseigne l’art de combattre avec le gladium (I’d love that but am too old: none the less I have a real gladium lol at home to the extent I had to fight with ALL my women – not with the gladium – to keep it).

        To make a long story longer, I there met Rodolfo Guzzi, scientifique et écrivain, et Felice Ragazzo, professeur de design industriel.

        D’esprits plus élevés on apprend toujours.

        Ils sont Piémontaise comme mon père, ainsi nous nous sommes retrouvés immédiatement à parler de Pythagore, Platon et d’Einstein et du sujet si la mathématique est uniquement dans notre pensée, ou bien elle est constitutive de l’univers (suivant Pythagore, Platon et Einstein).

        Faux problème, a etée la conclusion, puisque l’esprit-cerveau est une partie de l’univers et, avec l’univers, a évolué.

        Hegel avait donc raison?
        [toujours les Allemands, sorry, dear Elisabeth]

        C’est a dire: tout ce qui est réel est rationnel, et vice versa?

        Personnellement, per quel che può valere la mia opinione, je oscille, la tendance agnostique étant dans cela aussi.

        Mais j’ai vraiment besoin que la rationalité et l’amour, mélangés, règnent dans le Kosmos.

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        • C’est absolument fascinant, ce que tu racontes, Giovanni, et c’est une telle richesse de côtoyer toutes ces personnes. Comme cette : »fusion parfaite de l’art et de la science, avec les concepts philosophiques… Certes, « D’esprits plus élevés on apprend toujours », surtout quand on est un passionné comme toi. Je vois que la vie intellectuelle et artistique est toujours aussi riche à Rome, cela fait rêver…
          Qui a raison ? A chacun la sienne, l’essentiel est de trouver « sa vérité ». Et ton « besoin que la rationalité et l’amour, mélangés, règnent dans le Cosmos » est très beau.
          Je n’ai rien contre les philosophes allemands, il y a beaucoup de sagesse chez eux, et j’espère que TOUTES tes femmes ne te font pas trop de misères 🙂

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  22. 1. Si je n’avais aucune limite qu’est-ce que j’aimerais être ?
    rédactrice d’éditos de mon propre magazine

    2. Si j’avais la certitude que je vais être ce que je veux, comment est-ce que je me sentirais à cet instant même ?
    bien!!

    3. Est-ce qu’il y a quelque chose qui s’oppose à ce sentiment à l’intérieur de moi ?
    non

    4. Si oui, que vais-je faire pour transformer cette objection en support interne ?
    NA

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