Dieu, Abraham, le perroquet et les parachutes

Encore de nos jours plusieurs personnes écrivent le chiffre sept en inscrivant une barre horizontale au milieu et ce, même si la plupart des typographies l’ont fait disparaître.
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours ? Il faut remonter jusqu’aux temps bibliques pour le découvrir. Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï et que les dix  commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à voix haute et forte, chaque commandement.
Lorsqu’il arriva au septième, il annonça : 

– Tu ne désireras pas la femme de ton prochain. Et là, de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant : 
– Barre le sept, barre le sept !!!

Un jeune garçon vient d’être reçu au permis de conduire. Il va trouver son père, ancien d’une église locale, pour lui demander l’autorisation d’utiliser la voiture familiale. – Passe ton Bac, étudie ta Bible, fais-toi couper les cheveux, et tu auras la voiture, répond le père. Le jeune homme obtient son Bac, étudie sa Bible puis revient à la charge :
– Bien ! dit le père. Il ne te reste plus qu’à te faire couper les cheveux !
– Mais, répond le jeune, dans la Bible, Samson, Moïse et même Jésus avaient tous les cheveux longs !
– Oui ? Et ils se déplaçaient toujours à pied…

Sur le seuil de l’église, était assis un pauvre homme qui vivait d’aumônes. « N’as-tu pas honte ?  lui cria le prêtre. Il y a un mois, tu étais aveugle et aujourd’hui, te voici manchot !
-« Ne te mets pas en colère, mon frère, mais réjouis-toi plutôt du miracle ! Par la grâce de Dieu, j’ai en effet recouvré la vue et j’en ai eu une telle émotion que les bras m’en sont tombés »

« Il y a toujours plus de plaisir à donner qu’à recevoir » dit Jésus… C’est aussi la maxime des boxeurs…

Un homme en guerre contre Dieu monte au sommet de la plus haute montagne qu’il trouve. Puis il se met à l’apostropher… « Eh, Dieu ? » « Oui ? » « Qu’est-ce que c’est pour toi un million d’années ? » « Bah, même pas une seconde » répond Dieu. » Ah ? Et qu’est-ce que c’est pour toi un million de dollars ? » « Bof… À peine plus qu’un »  « Bon, dit l’homme, donne-moi un million alors » « Oui, oui, attends une seconde… »

Aux portes du paradis l’apôtre Pierre, la barbe blanche, bien peignée, attend patiemment les clients… Arrive un homme
– Que faisiez-vous sur terre ? lui demande Pierre
– J’étais paysan
-Très bien, entrez par la porte de droite. Et vous ? dit l’apôtre s’intéressant à un autre qui arrivait.
– J’étais employé de bureau
– Porte de droite. Et vous ?
– Moi ? J’étais médecin
– Ah, très bien, prenez la porte de gauche
– Pourquoi donc ?
– C’est l’entrée des fournisseurs

Une jeune fille présente son fiancé à ses parents. Après le dîner, son père invite le jeune homme à bavarder avec lui dans son bureau :
– Alors, quels sont vos projets ?
– Je suis étudiant en théologie.
Parfait, mais qu’avez-vous l’intention de faire pour offrir à ma fille un foyer accueillant ?
– J’étudierai la Parole de Dieu et Dieu pourvoira à tous nos besoins.
– Et comment élèverez-vous vos enfants ?
– Dieu y pourvoira. Un peu plus tard, la mère de la jeune fille demande à son mari :
– Alors, comment cela s’est-il passé ? – Il n’a ni travail, ni argent, mais je crois bien qu’il me prend pour Dieu.

À la sortie de l’église, sur le trottoir, un gamin vient de voir passer le cortège d’un mariage… Alors, il déclare : « Elle n’est pas idiote la mariée, elle entre avec un vieux… et elle en sort avec un jeune… »

Dans un avion, l’hôtesse annonce au microphone :
– Chers passagers, notre pilote nous demande si, dans l’ensemble, l’un d’entre vous serait un chrétien fervent ? Le pasteur Müller qui, ce jour-là, se rendait en mission, fier de pouvoir témoigner de sa foi, lève la main et répond ainsi à l’appel.
-Vous avez vraiment une foi forte, sans faille ? C’est sûr ?
-Aucun problème, madame
-Bravo ! Car nous avons un soucis… l’avion est en feu, et il nous manque un parachute… 

Dans une petite localité, le pasteur a fait afficher l’avis suivant sur la porte de l’église : « Ce matin, à 8 h 30, notre honorable frère John Miller, nous a quitté pour le Paradis… ». Le soir, une main inconnue avait ajouté : « Ici, Paradis -STOP- 19 h 00 – John Miller toujours pas arrivé -STOP- Sommes inquiets -STOP- »

Un jeune prêtre va voir un de ses confrères et lui demande : « Mon frère, comment doit être un bon sermon ? »
-« Un bon sermon, lui répondit-il, doit avoir un bon commencement et une bonne fin. Puis tu fais en sorte que le commencement et la fin soient le plus rapproché possible »

À l’occasion de son premier culte, un jeune pasteur arrive devant son auditoire, tout tremblant. Il est tellement ému qu’il bégaie… « Mes mes a-a-amis, qquuannd je sssuuuis arrivé toutout à l’heure, Dieu et et et moi, saaaavions ce queeueue nous aaallions diiire… Mais mais mais voilàlà, maintenant, Didieu seul lele sait »

Après une croisade d’évangélisation, les trois pasteurs discutaient ensemble de leurs résultats respectifs. Le pasteur méthodiste dit : -la croisade a bien fonctionné pour nous ! Nous avons gagné quatre nouvelles familles. Le pasteur baptiste lui répond : -nous avons fait mieux que cela ! Nous avons gagné six nouvelles familles. Le pasteur presbytérien ajoute : -bien, nous avons fait encore mieux que vous deux ensemble. Nous nous sommes débarrassés de nos dix familles qui créaient des problèmes.

Un navire fait naufrage en pleine mer et seulement deux hommes arrivent à rejoindre une île déserte. Le premier se met aussitôt à hurler : nous allons mourir, il n’y a pas de nourriture et pas d’eau. Nous allons mourir ! Le second est assis paisiblement contre un palmier. Cela rend l’autre encore plus dingue. Cela ne te fait rien de savoir que nous allons mourir ? Je gagne 100 000$ par semaine, lui répond le second, nous n’allons pas mourir ! Nous sommes sur une île déserte, comment ton argent peut-il nous aider ? Je gagne 100 000$ par semaine et je donne 10% à l’église. Mon pasteur va me retrouver ! 

Un dimanche, une dame avait invité des personnes pour le repas du midi. Elle se tourne vers sa fille de six ans pour que cette dernière dise la prière de bénédiction. Je ne sais pas quoi dire, répond la jeune enfant. C’est simple, répète ce que maman dit d’habitude. La petite fille courbe la tête, se joint les mains, puis lance : Seigneur, pourquoi ai-je invité tant de gens ?  

écureilUn prêtre arrive au ciel et se tient en ligne avant de passer devant le Seigneur. Tout prêt de lui se tient un homme insolite vêtu de cuir et portant des verres fumés. -Qui es-tu ? demande Dieu. -Je suis Jean Noiraud, chauffeur de taxi à New York. -C’est bien, lui répond Dieu. Prends cette robe de fin lin et cette couronne d’or. Et le chauffeur entre au ciel. Puis viens le tour du pasteur. -Je suis le Révérend Joseph Blanchard, pasteur senior durant les quarante trois dernières années. -C’est bien, dit Dieu. Entre avec cette robe de coton et cette couronne de carton. -Une minute, dit le révérend, ce chauffeur de taxi a eu une robe de fin lin et une couronne d’or… -Ici, dit Dieu, nous fonctionnons selon les résultats. Pendant tes sermons, les gens dormaient. Pendant qu’il conduisait, ils priaient.

Un vieux pasteur est sur son lit de mort, à l’agonie. Il sent tout à coup l’arôme de ses biscuits favoris aux pépites de chocolat montant par les escaliers. Il rassemble le peu de forces qu’il lui reste et arrive à se lever péniblement de son lit. Se tenant au mur, il titube le long de la chambre et arrive jusqu’aux escaliers. S’agrippant à la rampe il descend lentement une marche à la fois. Arrivé près de la cuisine, la senteur merveilleuse de centaines de biscuits le transporte dans un autre univers. Était-il rendu au ciel, ou était-ce un acte d’amour inconditionnel de son épouse pour qu’il quitte ce monde en homme heureux ? D’un dernier effort, il rampe jusqu’à la table, s’agenouille tout en salivant déjà abondamment. Alors qu’il étendait le bras pour prendre un de ces merveilleux biscuits, sa main fut soudainement frappée d’un coup de spatule venant de son épouse qui dit : « N’y touche pas, ils sont pour les funérailles ! »

Durant la nuit, un voleur s’introduit par la fenêtre d’une maison de famille partie en vacances. Arrivé dans le salon, il vit plein de merveilleux objets et au moment où il allait s’en emparer, une voix se fit entendre « Jésus te regarde ! » Le voleur fut surpris et ne sachant que faire, décida de rebrousser chemin. Au même instant, la voix répéta : « Jésus te regarde ! » De grosses sueurs coulaient du front du bandit, alors qu’il était paralysé de peur. « Jésus te regarde ! » se fit entendre une troisième fois. Il remarqua que le son venait d’un coin de la pièce où une cage était accrochée. Il s’approcha et vit un beau perroquet. Il lui demanda : « Est-ce toi qui as dit : Jésus te regarde ! » « Oui » dit le perroquet. « Ouf » répondit le voleur, je pensais bien me faire attraper. Dis-moi, quel est ton nom ? » « Abraham » répondit le perroquet. « Abraham ? Quel nom imbécile pour un perroquet ! Quel idiot t’a appelé ainsi ? » Et le volatile répliqua : « le même qui a appelé son grand et féroce Rottweiller Jésus ».

 

 

30 réflexions sur “Dieu, Abraham, le perroquet et les parachutes

    • Alors, j’en suis ravie 🙂
      Le Nombre 7, hautement symbolique, a de si nombreuses explications, ici, j’en parle surtout d’une façon un peu pratique, dans les posts sur la numérologie…
      Merci pour ce passage, Robin, j’aime beaucoup votre blog

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    • Alors, tant mieux, Mo, puisque la dernière fois, tu les connaissais 🙂 J’avoue que je cherche, souvent longtemps, fais le tri et les réécris parfois… Effectivement, la maxime du boxeur, surtout dans le contexte des paroles de Jésus est si drôle.
      Excellent, et moins pluvieux, je l’espère, week-end à toi

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