Allez-vous-en, la messe est dite

La messe est dite

Une institutrice de maternelle était en train d’observer sa classe d’enfants qui dessinaient. De temps à autre, elle se promenait pour voir le travail de ses élèves. Comme elle s’approcha d’une
petite fille qui travaillait consciencieusement, elle lui demanda que représentait son dessin.La petite fille lui répliqua: « Je suis en train de dessiner Dieu. » La maîtresse réfléchit et lui dit :  » Mais personne ne sait à quoi ressemble Dieu. » Sans s’arrêter, la petite fille lui répondit : « Ils le sauront dans une minute. »

Au cours du catéchisme, un prêtre était en train de discuter des Dix Commandements avec ses élèves de 5 et 6 ans. Après avoir expliqué le commandement « honorer ton père et ta mère », il demanda : « Y a-t-il un commandement qui nous enseigne comment traiter ses frères et ses sœurs ? » Un petit garçon répondit : « Tu ne tueras point. »

Deux prêtres roulaient à vive allure sur une moto, lorsque les policiers les arrêtent.
– Ne vous inquiétez pas mon fils, Jésus est avec nous.

Le policier rétorque :
– Dans ce cas je dois vous donner deux contraventions ! L’une pour excès de vitesse et l’autre pour avoir circulé à trois sur une moto

Pour créer la femme, Dieu endormi Adam avant de lui extraire une côte dont il fît Ève. Mais avant de le plonger dans un profond sommeil, il lui dit : « Adam, dors bien ! C’est ta dernière nuit tranquille

Un vieux Juif meurt et rencontre Dieu en arrivant au paradis. Il fait le bilan de sa vie :
– La pire chose qui me soit arrivée, c’est quand mon fils s’est converti au catholicisme… dit-il.
– A moi aussi, lui répond Dieu.
– Et qu’est-ce que vous avez fait ? demande le Juif.
– Un nouveau testament…

Les enfants font la queue dans la cafétéria d’une école catholique. Au bout de la table se trouve une grosse pile de pommes. Une religieuse avait placé une note sur le plateau :  « N’en prenez qu’une seule, Dieu vous surveille. ». Plus loin sur le comptoir est posé une grosse assiette de biscuits au chocolat accompagnée d’une note griffonnée par une main d’enfant : « Prenez-en tant que vous voulez, Dieu surveille les pommes ! ». 

Un avocat décède et se retrouve devant Saint-Pierre. Fort mécontent, il se plaint : « Comment ?! Vous me faites mourir maintenant, moi qui avais une santé de fer et dont la carrière professionnelle était un modèle du genre. C’est un scandale. Partir à 49 ans d’une crise cardiaque alors que j’ai toujours été sportif… J’étais bien trop jeune ! »
Saint-Pierre consulte alors ses registres et lui répond : « Ah je suis désolé. On s’est basé sur les honoraires que vous réclamiez à vos clients, et on a trouvé que vous aviez 119 ans. »

Plongé dans la lecture du journal régional, le curé du village découvre dans le carnet du jour son faire-part du décès. Stupéfait, il saisit le téléphone et appelle son évêque. « En effet, je l’ai lu, moi aussi », répond le prélat. Un bref silence, puis il ajoute « Au fait, d’où appelez-vous ? »

Quatre mères catholiques très bigotes discutent de leur fils respectifs.
La première dit fièrement :
– Mon fils est évêque, quand les gens le voient ils disent « Monseigneur »
La deuxième, non moins arrogante :
– Le mien est archevêque, quand les gens le croisent ils disent « Votre grâce »
La troisième, souriante :
– Mon fils est cardinal, quand les gens le rencontrent ils disent « Votre éminence »
Et la quatrième :
– Mon fils fait 2,20 mètres de haut pour 110 kilos de muscles. Quand les gens le voient passer ils disent tous « Oh Mon Dieu ! »

Le dimanche, à la fin de la messe, un jeune paroissien s’avance vers le curé. Celui-ci le reconnaît car il a célébré son mariage il y a six mois.
– Alors mon fils, comment ça va ?
– Justement monsieur le curé, j’avais une question à vous poser : est-ce que vous trouvez normal que quelqu’un puisse profiter des erreurs des autres ?
– Non, mon fils
– Dans ce cas, voulez-vous bien me rendre les 500 euros que je vous ai donné pour célébrer mon mariage ?

Un bonze tibétain, un rabbin et un prêtre catholique font un pique-nique au bord d’un lac. À la fin du repas ils remarquent une barque amarrée sur la rive et décident de prendre place dans l’embarcation et d’aller visiter une petite île qui se trouve au milieu du lac.
À mi-parcours, le bonze s’écrie : « Eh ! J’ai oublié une sandale sur le rivage ! ». Et à l’immense surprise des deux autres, il bondit hors de la barque, se met à courir sur l’eau, et revient au bateau après avoir récupéré sa tong.
Un peu plus loin, c’est le tour du rabbin : « Excusez-moi les amis, mais j’ai oublié mon chapeau ! » Il sort de la barque, se met à courir sur l’eau et quelques instants plus tard, il est de retour avec son couvre-chef.

Le prêtre, se sentant un peu niais vis à vis de ses deux amis se lance : « Heu… Je crois que j’ai oublié mon chapelet sur la rive ! » Et mal assuré, il saute de la barque, et coule à pic. Le rabbin confie alors au bonze : « On est un peu salauds tout de même, on aurait pu lui dire où se trouvaient les pierres… »
Et le bonze répond : « Quelles pierres ? »

27 réflexions sur “Allez-vous-en, la messe est dite

  1. Deux prêtres catholiques discutent en marchant dans un jardin.
    – Crois-tu que nous verrons un jour le mariage des prêtres ? demande l’un.
    L’autre de lui répondre :
    – Nous non, mais nos enfants, sûrement !

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  2. Coucou Elisabeth ! et bien tu vois que tu n’as pas besoin de champignons pour avoir l’inspiration divine 😀
    celle de du jeune marié qui réclame au curé les 500 euros est bien sympa , mais aussi celle des 4 mères bigotes, mais encore la dernière avec sa chute …de pierres …Ah ! j’ai oublié Dieu et son nouveau testament …
    Bonne soirée 🙂

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  3. Tu rigoles bien aujourd’hui Élisabeth :D. Entre la vidéo du chien qui fait un saut perrieux et l’avocat de 119 ans!!
    Pour l’avocat, je viens de voir la demande de provision du miens : je confirme lol. A ce tarif là, je lui conseille de me débarrasser définitivement des trolls.
    Bisous. Bon dimanche.

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