Comment trouver le bonheur dans votre vrai Moi

Depuis 1997, les enseignements toltèques de Don Miguel Ruiz sont connus dans le monde entier. Son premier livre, Les Quatre accords : un guide pratique de la liberté personnelle, est devenu un best-seller du New York Times et s’est vendu à près de 4 millions d’exemplaires. Son fils, Don José Ruiz, a commencé à enseigner avec Don Miguel et leur collaboration a mené à la création du Cinquième Accord : Un guide pratique de la maîtrise de soi — un guide plus profond et plus complexe pour trouver votre être véritable.

Dans cette interview, Don Miguel et Don José décrivent l’intention derrière le partage de ce nouvel accord, ainsi que leur expérience à travailler ensemble pour diffuser leur message de bonheur, d’espoir et de vérité.

Accords toltèques

Gaiam : Comment expliquez-vous que votre livre Les Quatre Accords ait été si bien accueilli, étant un best-seller au New-York Times durant plus de 7 ans ?

Don Miguel : Les Quatre Accords ont juste montré à tout le monde combien il est facile d’être tout simplement heureux. Ce n’est rien d’autre que du bon sens. C’est universel et, réellement, cela ne vient pas que du Mexique. C’est venu directement de l’intelligence humaine.

Une fois que vous le lisez et commencez à l’appliquer, vous verrez plus tard — et même des mois plus tard, que c’est comme si vous lisiez un nouveau livre. Or, ce n’est pas le livre qui a changé, c’est vous qui avez changé, parce que les limitations que vous aviez l’habitude d’avoir n’existent plus. C’est comme si vous aviez un guide dans votre poche.

Comment l’idée d’écrire le livre Le Cinquième Accord Toltèque vous est-elle venue?

Don José : En 2002, quand mon père a fait une crise cardiaque et est resté 9 semaines dans le coma, j’ai pris le temps de réfléchir et j’ai eu l’inspiration de poursuivre ses enseignements.
7 années ont passé et ce livre est l’aboutissement de cela.

Le cinquième accord c’est d’être sceptique, mais d’apprendre à écouter — d’apprendre à écouter avec votre cœur. C’est d’être sceptique en ce qui concerne les problèmes, les drames, et toutes les émotions négatives qui nous sont offertes dans cette vie, de telle manière que lorsque nous apprenons à écouter, nous apprenons à savoir ce qui est bon pour nous.  

Don Miguel : Cet accord est le niveau de maîtrise, lorsque vous en avez, enfin, totalement terminé avec vous-même et que vous pouvez vivre dans un monde où vous n’avez plus besoin de quelque enseignant ou gourou que ce soit, parce que vous devenez votre propre enseignant et votre propre gourou.

Décrivez les quatre accords

Don Miguel : le premier est d’avoir une parole impeccable. Ce qui veut dire parler avec intégrité et dire seulement ce que vous pensez. Cela veut dire également d’éviter les rumeurs et d’utiliser la parole en faveur de l’amour et de la vérité.

Le deuxième accord est de ne pas faire de quoique ce soit une affaire personnelle. Parce que chacun crée sa propre réalité, son propre monde. Et quoi que ce soit qui se vit dans son monde est différent de ce qui se vit dans ton monde.

Nous faisons l’hypothèse que tout le monde autour de nous vit comme nous le faisons et juge de façon similaire à notre propre jugement mais ce n’est pas vrai du tout. En ne prenant rien comme quelque chose de personnel, et bien, nous avons cette immunité dans nos relations avec tous ceux qui nous entourent.

Et quand nous ne faisons pas ces hypothèses, avec le troisième accord, et bien, cela nous donne cette immunité dans la relation que nous entretenons avec nous-mêmes.

Je sais que ces trois accords sont un petit peu difficiles, mais le quatrième accord est ce qui fait la différence parce que c’est quelque chose que tout le monde peut faire, et c’est toujours de faire de votre mieux parce que c’est la seule chose que nous pouvons faire.

En suivant simplement ces quatre accords, nous pouvons briser des milliers et des milliers d’accords que nous créons et qui régissent nos vies.

Pourquoi n’avez-vous pas inclus le 5ème accord dans le premier livre ?

Don Miguel : comme vous le voyez cet accord vient des quatre autres accords, et la raison pour laquelle je ne l’ai pas inclus il y a 13 ans est que, à l’époque, les personnes auxquelles j’essayais d’enseigner n’étaient pas prêtes pour cet accord, mais Don José a prouvé que j’avais tort en l’enseignant.

Que voulez-vous dire quand vous dites que nous sommes tous des messagers ?

Don Miguel : Quand nous sommes enfants, nous recevons des messages de tout le monde, de nos parents, de l’école, de toute chose — nous entendons tous ces avis, nous les faisons nôtres, et nous découvrons une façon de grandir et nous commençons à partager ces opinions avec tout le monde.

Nous passons notre temps à recevoir et à donner de l’information, à transmettre des messages, donc de nature, nous sommes tous des messagers. Mais nous n’en avons pas conscience. Nous passons juste des messages sans conscience et nous détruisons beaucoup des messages que nous envoyons et recevons.

Quel genre de messager êtes-vous ? Délivrez-vous des mensonges ou délivrez-vous la vérité ?

Don José : Nous sommes tous des messagers parce que nous sommes tous des artistes — « Toltèque » signifie « artiste »;  Quand vous vous demandez quel genre de messager c’est comme si vous vous demandiez quelle genre de vie je vis. Est-ce que j’adore ma vie ? Est-ce que j’aime la vie que je vis ?

Et bien, si vous ne l’aimez pas, vous pouvez changer votre vie, et si vous n’aimez pas votre message, vous pouvez changer votre message. Et c’est la belle partie dont vous devez prendre conscience — que nous sommes des conteurs d’histoire et que nous pouvons créer la plus belle des histoires.

Pouvez-vous nous parler de votre expérience à écrire un livre en collaboration ?

Don José : La collaboration de ce livre est le message de mon enseignement associé à celui de mon père, et simplement l’amour entre nous. Je lui suis très reconnaissant de ne pas m’avoir abandonné, par l’entremise de ma stupidité alors que je grandissais. Maintenant, j’ai l’opportunité d’être avec lui et de partager son message. C’est le plus beau cadeau qui soit.

Que diriez-vous à quelqu’un qui essaie de suivre les accords tous les jours ? Qui souhaiterait se réveiller chaque jour en s’en souvenant et en les pratiquant ?

Don José : Les gens devraient toujours se rappeler de respecter leur monde, de respecter leur corps, de respecter leur esprit et ne laisser aucun rêve empoisonné sacrifier leur havre de paix, Parce que qu’est-ce qui pourrait être plus puissant ? Quel chagrin d’amour ? Quel drame pourrait être plus puissant que nous abandonnions notre ciel ? Rappelez-vous toujours : la foi est en vous-même et vous pouvez changer par l’action et l’amour pour vous-même.

Y-a t’il un sixième accord ?

Don José : Non, c’est le dernier. Mais il n’y a rien d’autre à expliquer. Quand vous devenez votre propre professeur et apprenti — c’est essentiellement quand vous apprenez le respect, et vous apprenez à vivre dans un rêve de gratitude — et la gratitude, c’est la gratitude d’être vivant, d’avoir un corps.

Et qu’espérez-vous que les gens retirent de la lecture de cet ouvrage ?

Don José : Et bien, le plus beau message qui se trouve dans ce livre, est de nous aider à changer le monde — et nous ne parlons du monde à l’extérieur de nous, je parle du monde qui réside en notre esprit.

Don Miguel : Nous sommes tous venus sur cette belle planète avec une mission. La seule mission, et c’est la même pour chaque être humain qui se trouve sur cette belle planète terre, est de nous rendre heureux.

Une interview des co-auteurs Don Miguel Ruiz et Don José Ruiz sur leur livre Le Cinquième Accord Toltèque, parue dans http://www.humanitysteam.fr/ Source : http://life.gaiam.com/

Le cinquième accord : Un guide pratique de la maîtrise de soi est la suite du livre Les quatre accords : un guide pratique de la liberté personnelle (Un livre de la Sagesse toltèque).

DON MIGUEL RUIZ
Depuis près de trois décennies, Don Miguel Ruiz a partagé son unique mélange de sagesse antique et de sensibilisation à la conscience du monde contemporain à travers des conférences, des ateliers et des voyages sur des sites sacrés à travers le monde. Les ventes de ses livres ont dépassé les 7 millions d’exemplaires pour les seuls États-Unis, et ont été traduit dans plus
de 30 langues à travers le monde.

DON JOSÉ RUIZ
Dans la tradition de ces ancêtre, Don José Ruiz a consacré sa vie à partager les enseignements des Toltèques de l’antiquité. Depuis 11 ans, il donne des conférences et enseigne à travers les États-Unis et les lieux sacrés à travers le monde.

Pourquoi le mot accord ?

Ce mot accord fait référence à tous les principes reçus au cours de notre éducation, de la part de nos parents, ou issus de notre milieu, les croyances avec lesquelles chacun se construit. Nous donnons implicitement notre accord pour pouvoir intégrer tous ces principes et croyances qui influencent nos pensées, nos actions, nos vies. En acceptant ces 5 règles de vie extrêmement simples, nous nous accordons la possibilité de transformer rapidement notre vie en une expérience de liberté et de vrai bonheur.

Les Cinq accords

Que votre parole soit impeccable
Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez vraiment. N’utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire d’autrui


Quoi qu’il arrive, n’en faites pas une affaire personnelle
Ce que les autres disent et font n’est qu’une projection de leur propre réalité, de leur rêve. Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n’êtes plus victime de souffrances inutiles


Ne faites pas de suppositions
Ayez le courage de poser des questions et d’exprimer vos vrais désirs. Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. A lui seul, cet accord peut transformer votre vie


Faites toujours de votre mieux
Votre « mieux » change d’instant en instant. Quelles que soient les circonstances faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d’avoir des regrets

Soyez sceptique, mais apprenez à écouter
Ne croyez pas en vous-même ou en qui que ce soit. Utilisez la puissance du doute pour vous questionner au sujet de tout ce que vous pouvez entendre : est-ce vraiment la vérité ? Écoutez l’intention derrière les mots et vous comprendrez le vrai message.

 

45 réflexions sur “Comment trouver le bonheur dans votre vrai Moi

  1. Je suis contente d’avoir lu un peu plus d’explications sur le cinquième accord : « Le cinquième accord c’est d’être sceptique, mais d’apprendre à écouter « , car le terme sceptique m’avait quelque peu interpellé, mais je comprends mieux.
    Très beau partage Elisabeth.

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  2. Quel bonheur cette série d’articles. J’essaie de vivre ces accords au jour le jour, parfois c’est très difficile mais je ne les perds pas de vue et ils m’aident tous les jours. Ce qui me pose le plus de problèmes, ce ne sont pas les paroles non impeccables mais les silences et les non-dits. Je me sens démunie lorsque je me heurte à eux. Un grand merci Elisabeth pour ces billets. Je te souhaite une belle semaine 🙂

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    • Les silences et les non-dits sont insupportables car ils déclenchent automatiquement toutes les suppositions, réactivent nos croyances négatives et limitantes, et nous laissent démunis car si nous pouvons faire face à la parole, même malveillante, son absence nous donne un sentiment d’impuissance.
      Et c’est là que ne pas en faire une affaire personnelle est si important, comme d’être sceptique en ce qui concerne les problèmes et les émotions négatives qui nous affectent, en nous demandant si nous sommes concernés ou bien si nous retournons dans nos vieux schémas qui nous coupent de cette capacité à écouter et à savoir ce qui est bon pour nous. En nous reconnectant à notre cœur, au respect de soi et à l’amour que nous nous portons… ce qui nous fait toujours revenir à nos fondamentaux 🙂
      Pas facile, je te l’accorde mais faisons de notre mieux.
      Bisous et belle semaine, Elisa

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  3. Bonne fin de soirée Elisabeth,
    Depuis mon dernier passage fin de la semaine dernière, j’ai réfléchi, énormément sur moi-même et ton titre de ce jour m’a fait sourire 🙂
    Je prendrais ces accords. En les lisant, j’ai l’impression que tu parles d’accords de musique. Oui mon esprit tourne ainsi, changement d’interprétation du mot dans un texte aussi sérieux 🙂
    Cela n’empêche pas de lire et de réfléchir 🙂
    Je relève ceci : « Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames. A lui seul, cet accord peut transformer votre vie »
    Et lorsque les autres personnes t’interdisent à cette communication claire, que se passe t-il ? » J’ai en effet voulu mettre sur la table, des malentendus et y mettre des explications. Les personnes se sont fermées et l’ont très mal pris, alors que ce genre de choses, je ne l’ai jamais connu dans mon pays. Je ne comprends pas.
    C’est par ce biais d’ailleurs que le dialogue a pu se renouer avec ma fille. Il y aura toujours du chemin, encore et encore, mais le plus important, c’est d’avoir pu nous parler.

    Il est écrit aussi : « Rappelez-vous toujours : la foi est en vous-même et vous pouvez changer par l’action et l’amour pour vous-même. » Déjà expérimenté et mis bien de côté à diverses reprises. Reprendre, laisser de côté, reprendre, laisser de côté. Or les paroles sont tellement vraies.

    Voilà quelques pensées de ce jour. 🙂
    Un peu timide, n’ayant pas lu l’article précédent.
    Je t’embrasse.
    Geneviève

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    • Bien que l’explication du mot soit donnée à la fin, lire les accords dans le sens de la musique est juste aussi car soit elle est harmonieuse, sereine et apaisante, soit elle crée une cacophonie qui nous épouvante… Et si nous pouvons écrire nos propres partitions, il est bon d’abandonner une fois pour toutes l’idée que nous puissions changer l’autre, sans qu’il en ait envie.
      Cela m’étonne que tu évoques un pays car ces principes fonctionnent d’une manière universelle et ce n’est pas une question de culture, juste de personne.
      Il serait bon que tu lises les articles précédents car ils expliquent bien, combien nous ne sommes responsable que de ce que nous disons et jamais de ce que l’autre entend. Et s’il ne veut pas communiquer, tu n’y changeras rien, demande toi juste si ta parole a toujours été impeccable, si le moment était bien choisi et surtout que tu n’aies pas pris de façon personnelle car c’est là que réside le plus gros problème.
      Nous interprétons, faisons des suppositions et abordons les choses selon notre système de croyances, et souvent, ce n’est pas ce que l’autre a dit qui nous blesse le plus mais le « pourquoi » de cette blessure.
      Nos problèmes extérieurs sont le reflet de ce que nous avons besoin de régler en nous, et si nous sommes en paix, nous avons au moins la possibilité de prendre du recul, ne pas (se) juger ni culpabiliser.
      Bien que si simples en apparence, ces accords sont très difficiles à appliquer car ils remettent en question jusqu’à notre vision du monde.
      Alors, j’espère que cela va t’encourager à les approfondir mais surtout à cultiver cet amour de soi, la chose la plus ardue, je te l’accorde mais qui ouvre toutes les portes.
      Courage et tendresses, Geneviève

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      • Merci pour ce long développement Elisabeth. Je comprends très bien toute ta réponse. Je sais très bien qu’il est impossible de changer une autre personne. Qu’elle soit proche, amie ou non. Il me semble, et j’écris il me semble avoir essayé de respecter cela. Mais, d’autres paramètres entrent en jeux, je les ai découverts assez récemment et ont modifiés pas mal de choses dans mon comportement. La peur, l’anxiété, suite à une agression dans un magasin en 2004 par quatre individus. J’ai pensé très souvent l’écrire, ne l’ayant jamais fait. Je déteste les interprétations et les suppositions et ai toujours été habituée dans mon travail au départ, à mettre sur la table avec la personne concernée, ce qui n’allait pas, avec un échange, qui se soldait dans la bonne humeur. J’avais trente-cinq ans. Trente ans après, en faisant le bilan, il me semble ne pas avoir changé dans mon coeur. Sauf qu’il y a onze ans bientôt de vie qui n’aurait jamais dû exister, tant la dévalorisation de moi-même et tout ce que cela comporte et va avec, m’a entraînée dans une régression totale. Je lutte, et je fais comme je peux. J’ai beaucoup pensé à maman depuis son décès et comme moi, elle a fait comme elle pouvait, alors que je lui en voulais tant. Ces sentiments là sont partis en grande partie. Les moyens donnés aux femmes à l’époque étaient inexistants et ce fut une femme de devoir à la maison et de don de soi à son travail. Quant aux pourquoi des blessures. Je déteste le mensonge, et lorsque je le rencontre ou qu’il se trouve en mots devant moi, ceci de bien mauvaise foi, je ne tiens plus tête, j’ai fini par me taire.
        Quant à ma parole, bien entendu que non qu’elle n’est pas ce qu’elle devrait être, je ne suis pas parfaite, loin de là même. Si c’est une question de personnes, j’ai vite fait le tour 🙂
        Je suis d’accord que nous sommes responsables de nos actes chaque jour, et de nos paroles. Encore faut-il que la personne qui se trouve en face :
        1° Ne les déforment pas
        2° soit de mauvaise foi
        3° ait envie de dialoguer et d’échanger

        En effet, si devant ces constats, je ne puis rien y changer ce que je sais, et ce que je me dois de constater, il est vraiment grand temps que j’agisse. Agir en pensant à moi comme une mère pour sa fille. Et là je reviendrai à la base même de ce dialogue intérieur, tant de fois abordé, qu’est ce qu’être une bonne mère pour soi ? J’ai eu en onze ans de beaux cadeaux de petits enfants qui m’entouraient où j’habite et où j’ai pu me rendre compte que me fustiger était faux, et que je pouvais être une bonne mère alors que je pense tout le contraire. Cela c’est moi qui l’écrit et le pense. 🙂 Je vais laisser mijoter ta réponse et merci pour tous ces mots.
        Bonne journée à toi.

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        • Je n’ai pas d’autres réponses car elles seraient trop personnelles, je voulais juste te dire que tu n’as pas régressée, tu traverses juste une période difficile et elle dure depuis trop longtemps.
          Il reste beaucoup de blessures à guérir, tant de choses à pardonner et surtout à te pardonner, et au fond de toi tu sais bien comment t’y prendre.
          Personne n’a jamais exigé la perfection, juste faire de notre mieux.
          Écrire, si cela peut exorciser la peur et surtout, devenir cette bonne mère pour toi.
          Tendres bisous, Geneviève

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          • Bonne journée Elisabeth. Tu me rassures en m’écrivant que je n’ai pas régressé, tant j’ai cette conviction. Tu écris des mots bien positifs me concernant, et je t’en remercie. Je vais donc mieux lire d’autres mots de cet article ou d’autres. Savoir comment m’y prendre ? Tu es généreuse et confiante. Je ne l’ai pas cette confiance, ni éprouve la même lucidité. Je me dis que le temps fera le nécessaire comme d’habitude 🙂 Être une bonne mère pour moi-même, quelque chose que je n’ai jamais compris. 🙂 Là je sais pourquoi, je ne comprends pas. Pfff, c’est compliqué ou je complique, c’est possible. Bisous et merci pour ta tendresse. Geneviève

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            • Il est toujours tellement plus facile d’être lucide pour les autres et au fait, je te dis ce que tu sais déjà au fond de toi. Après il reste à le mettre en actes et j’espère que ces accords pourront t’aider à avoir ce « déclic » car la confiance s’acquiert de cette façon, et pas besoin de faire des choses spectaculaires, juste un petit pas après l’autre. Le temps t’aidera si tu as ce désir d’évoluer, sinon son passage ne fera qu’ancrer davantage les problèmes.
              Si tu as l’impression de compliquer, c’est que tu mentalises trop car souvent, nous cherchons à comprendre, là où il n’y a qu’à ressentir, en étant à l’écoute de ses émotions. Et peut-être cette expression deviendra plus claire si tu essayes de moins te juger et juste te faire plaisir. Et si c’est le mot « mère » qui coince, que dirais tu d’être ta meilleure amie ?
              Je t’embrasse Geneviève

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              • Bonsoir Elisabeth,
                Comme tu es une femme précieuse, sans vouloir te flatter. Il y a très très longtemps et là je ris, j’ai l’impression de commencer un conte de fées :D, une pédopsychiatre celle de ma fille, pour une seule consultation, elle n’a plus voulu y retourner et a trouvé sa solution toute seule, m’a reçue un jour en catastrophe. Et ce sont exactement les mots qu’elle a utilisé et que j’ai conseillés il y a quelques années à d’autres et que j’avais oubliés : « Que diriez-vous à votre meilleure amie ? » Comme ce fut alors limpide et clair. 🙂 Alors là, je ris de moi-même Elisabeth, car les mots viennent tout seuls bien entendu. Pfff, c’est étrange la construction d’une personne. Tu es bénie pour me trouver ces mots aujourd’hui, ou plutôt que je lis aujourd’hui 😉
                Je vais les écrire ces mots tient pour moi toute seule ou dans un carnet c’est encore mieux. 🙂 Et soudain tout devient clair, et évidemment que j’ai la ou les réponses. Et la meilleure Elisabeth, tu me croiras ou pas, mais j’éclate de rire là !
                Merciiii merciiiiii tu es géniale et puis je le suis un petit peu aussi 😀
                C’est pas pour autant que l’affaire est dans le sac, mais je savais comme tu l’écrivais, je sais, comme je le pense, et je sais ce que je dirais à cette amie. 🙂
                Passe une bonne fin de soirée à toi, et de tout coeur de gros baisers affectueux et de merci.
                Geneviève

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                • Quel bonheur de te lire, Geneviève, tu vibres, tu es comme illuminée de l’intérieur et cette idée du conte est magnifique.
                  Je te disais bien que tu avais la réponse en toi, il y a juste ce mot « mère » qui coinçait, pour des raisons que nous connaissons.
                  Alors, prends un beau cahier et écris… sans te préoccuper si « l’affaire est dans le sac », juste en te sentant entièrement libre et sur la bonne voie.
                  Et surtout, continue à rire… tu es géniale aussi.
                  Toute ma tendresse

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                  • Merci Elisabeth, merciiii.
                    Je vais devoir me rappeler de revenir sur cet article ci, avec mon cahier et me lancer dans ce que je viens de te répondre. Oui je puis encore rire heureusement. Éclater de rire aussi, comme j’aime tant. Mais de suite, j’entends une interdiction. Je rirais trop fort. 😦 Tant pis, je continuerai à rire. Cela fait onze ans, aujourd’hui que je ris de la même manière. Non mais des fois. 🙂 Bisous et bon vendredi à toi aussi.

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  4. Bonjour Elisabeth,
    J’ai pris mon temps mais cette publication le valait bien.
    Tu nous gâtes Elisabeth, que de partages de grandes richesse tu nous offres… Merci grand merci !
    Que de chemin parcouru auprès de toi, chemin qui m’aide à me connaître et me conforte dans ma pensée 😉
    Ne contestes pas, reçois ce qui t’est dû, tu es une femme de grand coeur 😉

     » Ce n’est pas le livre qui a changé, c’est vous qui avez changé, parce que les limitations que vous aviez l’habitude d’avoir n’existent plus. C’est comme si vous aviez un guide dans votre poche ». C’est exactement cela !
    Le plus difficile est d’oser modifier sa vie, car cela n’est pas sans conséquences…Pourtant en y réfléchissant lorsqu’on a acquis tout ceci, il n’est pas possible de continuer à vivre comme avant, le changement se fait alors doucement 😉
    Je suis en harmonie avec les 4 premiers accords, et essaie de faire au mieux, reste le dernier à venir, il y a encore du travail.

    Très bon dimanche Elisabeth avec toute ma tendre amitié et mes bisous

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    • Bon, je ne conteste pas et te remercie de tout cœur pour ce cadeau.
      Même si le changement fait toujours peur, il y a cette envie de commencer le cheminement et persévérer, surtout quand c’est difficile comme nous le constatons souvent.
      Mais il arrive aussi ces moments magiques où non seulement nous nous apercevons que nous avons évolué mais que cela nous donne un regard différent, sur nous, les autres, le monde en général.
      Et ce guide intérieur se fait entendre de mieux en mieux et ne nous trahit que si nous ne l’écoutons pas.
      Je sais que tu as appris à te fier au tien, que tu fais toujours de ton mieux et c’est le plus important car le travail continue, toute une vie durant, et comme nous l’avons déjà dit, si souvent, la perfection n’est pas de ce monde 🙂
      Toute ma tendresse et merci encore, douce Fanfan

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  5. Bonjour chère Elisabeth,

    Comment vas-tu? Cela fait longtemps que nous n’avons pas échangé et j’espère que tu vas bien. As-tu éprouvé quelques satisfactions printanières? Hormis les petites fleurs qui s’épanouissent !

    Nous étions il y a peu dans la région de Seattle, ou nous pensions y faire notre petit nid. L’immobilier y est cependant fort élevé et cela ne semble pas être le moment opportun. Nous voici donc de retour dans notre « good old » New Jersey.

    Merci pour les articles concernant la famille Ruiz. Toujours aussi riches d’enseignements sur soi-même. J’ai bien aimé ce passage, notamment,

    Don Miguel : Cet accord est le niveau de maîtrise, lorsque vous en avez, enfin, totalement terminé avec vous-même et que vous pouvez vivre dans un monde où vous n’avez plus besoin de quelque enseignant ou gourou que ce soit, parce que vous devenez votre propre enseignant et votre propre gourou.

    Il m’a fait un peu penser à l’audience que j’imagine pour mon émission, sachant que je ne sais pas trop qui écoute de par le monde.

    Mais l’essentiel est que le message semble passer, puisque je suis toujours là, fidèle au poste !

    Je te souhaite un très beau mois de mai et t’envoie toutes mes amitiés!

    Amour et Lumière, ma chère

    Gilles

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    • Merci pour ces nouvelles, elles me font bien plaisir. Je ne connais pas Seattle mais d’après ce que j’ai entendu dire, il y pleut tout le temps…
      Vous verrez bien si une autre occasion se présente, si l’envie de changer d’endroit vous tente.
      Le printemps est un ravissement permanent et le mois de mai magnifique, cette année, chez vous aussi, d’après ce que je sais.
      Je présume que tu connais et appliques les accords toltèques depuis longtemps et ce passage est important, en effet car nous sommes appelées à nous affranchir des maîtres à un moment donné, et suivre notre cœur et notre conscience.
      J’essaie d’écouter tes émissions, souvent en différé, ravie que tu continues, et certaines qu’elles font beaucoup de bien à tes auditeurs.
      Porte-toi au mieux, amitiés et à bientôt, Gilles

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      • Merci chère Elisabeth.

        Heureux d’avoir de tes nouvelles, qui me semblent bien bonnes.

        Et oui, l’aventure nous tente, et nous allons donc la tenter localement! Ou peut-être ou le vent nous poussera.

        Pour ces qui est des accords, ils sont à la fois simples et difficiles à mettre en œuvre car ils nécessitent une prise de conscience à un niveau profond – le niveau où l’on désire vraiment changer les choses.

        C’est aussi mon but, à travers mon émission, d’encourager les êtres humains sur leur chemin.

        J’ai reçu ce matin un très beau poème de Vaclav Havel qui dit les choses si bien: C’est moi qui dois commencer.

        Personne ne peut commencer pour nous.

        Je te souhaite une très belle fin de journée. Amitiés

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        • Le vent favorable vous mènera sûrement à bon port, puisque l’envie est là…
          Tu as raison, l’apparente simplicité de ces accords est si trompeuse car comme tu dis, ils appellent à une prise de conscience à un niveau profond, celui de l’Être.
          J’adore ce poème, comme son auteur, et je suis bien d’accord, personne ne peut commencer pour nous ni faire le travail à notre place mais un bon « guide » est si précieux sur le chemin.
          Belle semaine, Gilles et à bientôt, sur les ondes

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          • Merci chere Elisabeth,

            Oui, un bon guide est un precieux atout sur le chemin. En changer est aussi parfois une bonne chose, car nous evoluons et notre niveau de vibration s’en ressent. Mon experience avec un brin de recul.

            Tres belle journee, et merci de nous ensoleiller avec tes reponses. Elles sont profondes, genereuses, et je lis toutes celles qui tombent dans ma boite!

            You have a big heart, comme on dit si bien en anglais. Un « grand coeur! »

            Gilles

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            • Je partage ton expérience de changer de guide car nous évoluons en effet, et en plus, si c’en est un véritable, il cherchera à nous rendre libres.
              Il y a aussi ce passage qui t’a marqué dans l’Arcane Sans Nom : « Ses énergies nous poussent vers un passage, souvent inconnu ; nous sommes à la fois des passeurs pour nous-mêmes et avons besoin de ceux qui nous aideront à faire ce passage. Pour ensuite devenir éventuellement des passeurs à notre tour. » Tu t’en souviens, certainement, puisque tu es devenu ce passeur.
              Merci pour ton intérêt et pour ce beau compliment mais tu sais aussi que seules les choses qui viennent du cœur et du vécu peuvent résonner pour d’autres.
              Amitiés, Gilles

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              • Merci chère Elisabeth, pour cette nouvelle et tendre réponse,

                C’est intéressant que tu mentionnes l’histoire du passeur qui, oui, me tient beaucoup à cœur. Elle ne ressort pas aujourd’hui à travers tes mots par hasard.

                Si ce n’est que je demande quel genre de passeur je peux bien être, en proclamant haut et fort tous les jeudis après-midi ma propre Vérité. Une vérité qui reste sans écho au niveau des ondes, mais qui résonne je l’espère dans le cœur des auditeurs.

                En écrivant ces quelques mots, c’est la carte de l’Hermite qui me revient à l’esprit. Et peut-être plus particulièrement sa condition de « solitude. »

                Voici mes quelques notes prises lors de notre discussion.

                L’Hermite
                Impression : il tient une lanterne, il sert de guide, assez âgé
                Quelqu’un en qui on peut avoir confiance
                Il sait où il va, il guide les gens
                Si c’est moi, j’ai besoin de murir (amusant)
                De par sa position, lame qui me défie –de quelle façon ?
                Sage, guide – pour faire du neuf (nombre 9)
                Il regarde à gauche, vers le passé, pour faire du neuf ; (il éclaire le passé pour faire du neuf)
                Il chemine très lentement (old man) ; il peut représenter l’isolement et la solitude
                Est-ce que tu peux être à ma hauteur, me dit-il ? (défi ressenti par Gilles)
                J’ai le droit d’exister pleinement
                Avais-je ma place à la maison ? J’ai eu ma chambre à 13, 14 ans
                Je suis parti à l’étranger pour avoir mon territoire
                Contrôle exercé sur moi comme un enfant – forme de violence
                Veux guérir la famille – pouvoir d’étudier pour apprendre et de transmettre
                Différence entre vraie connaissance et savoir livresque
                Connaissance dans mes tripes de conscience, cheminement spirituel
                ——

                Ceci dit, j’ai beaucoup aimé ta discussion avec Geneviève et la douceur avec laquelle tu l’as réconfortée. Quelle bel exemple de vulnérabilité de sa part!

                Particulièrement ces quelques mots, qui me parlent beaucoup:

                « Si tu as l’impression de compliquer, c’est que tu mentalises trop car souvent, nous cherchons à comprendre, là où il n’y a qu’à ressentir, en étant à l’écoute de ses émotions. Et peut-être cette expression deviendra plus claire si tu essayes de moins te juger et juste te faire plaisir. »

                Trouver l’Amour (de soi) en soi est un chemin long et sinueux, mais sans lequel il est impossible d’aller de l’avant.

                Je pense que tout un chacun d’entre nous est confronté à cette « problématique, » si je puis dire, quelle que soit l’expérience vécue dans notre jeunesse.

                Très belle fin de journée, et un grand merci pour ta Présence.

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                • Quelle autre vérité que la tienne pourrais-tu exprimer, puisque c’est la seule valable ? Et non pas livresque mais celle acquise lors de ton cheminement, et ressentie dans ton corps.
                  Pas figée, non plus car faire du neuf, c’est aussi réajuster, tous les jours. J’aime bien toutes ces questions que tu te poses au sujet de l’Hermite et il y en a qui viennent de son positionnement dans ton « thème » car il est dans la maison de défis.
                  Et s’il y a encore toutes ces blessures liées au territoire, à la violence, la solitude, ainsi qu’à la légitimité, n’oublie pas ta Force, si présente, celle de ton âme, qui cherche à s’exprimer en justesse mais aussi en miséricorde, aussi bien envers ta famille qu’à toi-même.
                  Y compris par le comblement de ce manque de l’amour de soi, auquel nous sommes tous confrontés et qui si difficile à acquérir. Mais déjà, sortir du jugement, de l’autopunition voire du déni de soi est un beau pas en avant.
                  Et si je peux comprendre Geneviève, ce que je suis aussi confrontée à ce problème…
                  Merci, Gilles et que la Force soit avec toi… j’adore cette expression 🙂

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                  • Merci chère Elisabeth,

                    pour cette belle et douce réponse.

                    Je vois que Geneviève a refait surface, de belle manière, et cela me réjouit. Quel retournement de situation, grâce à quelques mots bien sentis, en provenance du cœur—de ton cœur. Merci.

                    Intéressant que tu lies territoire, violence et solitude ; je ne les mettrais pas dans le même paquet !

                    La solitude, c’est plutôt celle rencontrée ou apprivoisée sur le chemin, et elle caractérise fort bien ma situation en ce qui concerne mon émission. Solitude, et brouillard à l’horizon.

                    La carte de l’Hermite n’en a que plus de sens, et sa réapparition dans ma conscience coule de source–ou de la Source!

                    Merci de mettre en parallèle cette Force et ce slogan, qui comme par le plus grand des « hasards » est apparu mercredi sur le pyjama Star Wars que nous avons acheté à notre petit bonhomme.

                    May the Force Be with You, my dear !

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                    • Toujours personnellement et uniquement car à chacun son vécu… Si j’ai lié ces termes ce que le manque du territoire, dans le sens d’avoir ou de prendre sa place, n’est-il pas une forme si pernicieuse de violence, comme de solitude ? Mais il n’y a que ton interprétation qui compte…
                      Ton ressenti de l’énergie de l’Hermite ne sera jamais semblable à aucun autre, et tu sais bien qu’en cheminant, il n’aura plus le même visage…
                      Je t’ai rappelé la Force car tu en as plusieurs et c’est une Lame du Soi, comme celle de
                      « soit tu es dans ta force, soit tu perds tes forces ».
                      Et ce film véhicule une si belle symbolique.
                      Merci pour ton intérêt, Gilles, amitiés et tendresse à votre bonhomme.

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                    • Merci pour cette nouvelle réponse, chère Elisabeth,

                      C’est une bonne interprétation que tu m’offres de ce « manque de territoire; » et j’acquiesce volontiers. Si ce n’est que ce manque (je dirais presque ce manque ‘d’amour) a été la cause de mes escapades internationales et ma’ obligé à aller chercher ailleurs ce que je n’avais pas sur place. Une bonne chose, en définitive !

                      Quant à mon ressenti de l’Hermite, veux-tu dire qu’il ne sera jamais semblable au ressenti que je pourrais avoir vis-à-vis d’une autre carte ? Juste pour être sûr !

                      Peut-être regarde-t-il désormais un peu moins vers le passé, ou peut-être d’une façon différente ? Pendant quelque temps, j’étais en contact avec une personne que j’appelais « the old man. » Ce que l’on appelle apparemment un psychopompe. J’ai lu ce terme dans l’un des articles que tu as postés, il me semble, bien qu’il m’ait été fourni en premier par un astrologue écossais. Tout cela pour te dire que ce fameux « old man » a disparu de la circulation et qu’il s’est peut-être tout simplement intégré dans mon univers spirituel, n’éprouvant plus le besoin de communiquer. Et je peux difficilement penser à l’un sans penser à l’autre.

                      Merci également de remettre cette carte de la Force au gout du jour. Je t’en suis reconnaissant. J’ai regardé à nouveau le teeshirt de notre petit bonhomme, et celui-ci ne dit pas « Que la Force soit avec toi ! » mais « Utilise la Force ! » Quel beau message, a un degré plus avancé, je dirais.

                      Je te souhaite une très belle journée pleine de soleil. Douces amitiés.

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                    • Nos épreuves sur le chemin nous appellent à évoluer…
                      Je voulais dire que ton ressenti de cette Lame, comme des autres, ne sera jamais semblable, puisque tu changes. Et comme l’Hermite est ton défi, tu es invité à le relever.
                      Je réponds brièvement car tu peux voir que l’espace de discussion devient presque illisible, alors si tu désires la poursuivre, poste un nouveau commentaire.
                      Amitiés, Gilles

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    • Il a tant de facettes, dont certaines sombres… serais tu prête à les accepter, sans jugement ni culpabilité ?
      Et sentir que le véritable Toi ne peut être qu’à l’image de la Grande Vie, à laquelle il est relié, et qu’il reflète, au-delà de la personnalité que nous croyons être…

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    • N’est-ce pas toujours la même histoire, Anna ? Si lire de bons livres ou entendre les meilleurs conseils du monde suffisait à progresser…
      C’est uniquement par la pratique quotidienne que nous les intégrons et les rendons agissants

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  6. Bonsoir Elisabeth,
    Certes ces cinq accords sont un mode de vie qui saura nous faire émerger. Néanmoins, ce que j’en retiens le plus personnellement est la notion de respect. Respecter les autres, se respecter soi-même, respecter son environnement et son monde…..nous aurons alors un bon bout de chemin de fait.
    Mes salutations sincères et bon week-end!

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