À l’œuvre on connaît l’artisan

Panda

Un homme entre dans un magasin avec son fils de 8 ans. Comme ils passent devant le rayon des préservatifs, le petit garçon demande :
– C’est quoi ça, Papa ?
Le père lui répond d’un ton neutre :
– On appelle ça des préservatifs, fiston. Les hommes les utilisent pour se protéger au cours de rapports sexuels.
– Je vois, répond le garçon, l’air pensif. Oui, j’en ai entendu parler à l’école. Il jette un œil sur le présentoir, saisit une boîte de 3 et demande :
– Pourquoi y en 3 ?
– Ceux-là sont pour les lycéens, lui répond son père, UN pour le vendredi, UN pour le samedi et UN pour le dimanche.
– Cool ! s’exclame le garçon.
Il remarque une boite de 6 et demande :
– Alors… Pour qui ils sont ceux-là ?
– Ceux-ci sont pour les étudiants, lui répond son père, DEUX pour le vendredi, DEUX pour le samedi, DEUX pour le dimanche.
– Waouh !, s’exclame le garçon, mais alors qui utilise ceux-ci ?, demande-t-il en brandissant une boite de 12.
Avec un soupir et la larme à l’œil, le père lui répondit :
– Ceux-là sont pour les hommes mariés… UN pour janvier, UN pour février, UN pour mars…

Un pilote d’Airbus commence à avoir la vue sérieusement basse. Comme tous les ans, il lui faut passer la visite médicale. D’habitude, son défaut passait inaperçu car le pilote connaissait par cœur le panneau des lettres à lire… Mais cette année il a été changé, et lorsqu’il se met à réciter n’importe quoi, le pot-aux-roses est découvert ! Le médecin constate que le pilote est presque aussi myope qu’une taupe. À tel point qu’il se pose la question :
– Comment un pilote avec une vue aussi mauvaise que la vôtre peut parvenir à faire voler un Airbus sans problème ? Par exemple, comment faites-vous pour trouver la place de l’avion sur les pistes?
– Oh, ce n’est pas très dur. Tout ce que j’ai à faire, c’est de suivre les indications du contrôleur au sol à la radio. En plus de cela, il y a les marques au sol que je connais par cœur.
– Je peux comprendre ça, mais comment se passe le décollage ?
– Là encore, c’est facile. Je dois simplement placer l’avion correctement au début de la piste. Puis dès que j’ai l’autorisation par radio, je mets pleins gaz, je tire sur le manche et hop on décolle.
– Et une fois en l’air ?
– Oh, de nos jours, tout est automatisé. L’ordinateur de bord connaît notre destination. Tout ce qu’il me faut faire une fois le décollage terminé est d’enclencher le pilotage automatique, et ensuite l’avion se débrouille tout seul.
– Admettons. Mais je voudrais bien savoir comment vous atterrissez…
– Ah ça, c’est la partie la plus facile: je n’ai qu’à suivre les indications données par la tour de l’aéroport. Le contrôleur aérien me place sur le bon axe de descente. À ce moment-là, je diminue les gaz, et j’attends que les passagers se mettent à hurler

Si le type qui a provoqué l’accident vous donne ensuite des coups de poings, est-ce que le constat à l’amiable reste valable, ou non ?

Je me suis soigné avec les feuilles de maladies.

J’ai une femme à l’état de grossesse et désire m’inscrire à la prénatation.

Les hommes ont un cerveau et un sexe mais pas assez de sang pour alimenter les deux en même temps.

Je n’ai pas peur du terrorisme, j’ai été marié pendant vingt ans !

10 réflexions sur “À l’œuvre on connaît l’artisan

Laisser un commentaire