Et la lumière fut… ou pas

âne

Le petit Nicolas déménage à la campagne et achète un âne à un vieux fermier pour 100 euros. L’homme doit livrer la bête le lendemain mais justement, le lendemain…
– Désolé fiston, mais j’ai une mauvaise nouvelle : l’âne est mort.
– Bien alors, rendez-moi mon argent.
– Je ne peux pas faire ça. J’ai déjà tout dépensé.
– OK alors, vous n’avez qu’à m’apporter l’âne.
– Qu’est-ce que tu vas faire avec ?
– Je vais le faire gagner par un tirage au sort à une tombola.
– Tu ne peux pas faire tirer un âne mort !
– Certainement que je peux. Je ne dirai à personne qu’il est mort.
Dans sa situation, le fermier se dit qu’il ne peut pas vraiment refuser. Il amène donc l’âne au petit Nicolas. Une semaine plus tard, il revient :
– Qu’est devenu mon âne mort ?
– Je l’ai fait tirer au sort. J’ai vendu 500 billets à 2 euros : ça m’a fait une recette de 1.000.
– Et personne ne s’est plaint ?
– Seulement le gars qui a gagné. Et je lui ai rendu ses 2 euros….

Quelles sont les mensurations idéales pour un homme ?
– 86/35/48…
86 ans, 35 millions sur le compte et 48 degrés de fièvre

Dans un congrès, il y a 3000 blondes et l’une d’elles est tirée au sort, elle a juste à répondre à une question facile pour gagner un voyage à Hawaï. Et donc le présentateur dit : « Alors, je n’ai pas trouvé plus simple comme question : 12 + 4, ça fait combien ? » Alors la blonde se concentre et dit : « Euh… 15 ? » Et là tout le public crie : « Laissez-lui une autre chance, laissez-lui une autre chance… » « Bon d’accord, une autre chance alors. Si je vous dis 8 + 2 ? » La blonde cogite à fond et répond : « 7. » A nouveau : « Laissez-lui une autre chance ! » « Bon allez, 2+2 ? » La blonde : « 4 » Et tout le public hurle : « Laissez-lui une autre chance, laissez-lui une autre chance ! »

Un homme se présente à l’entrée du paradis. Derrière chaque guichet, un saint, qui examine les mérites des arrivants. Notre homme se présente au guichet le plus proche, et s’entend demander:
–  Avez-vous commis, dans votre vie, une action que vous jugez vraiment impardonnable ?
– Oui, dit l’arrivant, j’étais arbitre de football, c’était la finale de la coupe de France, j’ai accepté un pot-de-vin, j’ai sifflé un penalty indu pour Saint-Étienne, qui a gagné la coupe grâce à cette tricherie.
– Passez en vitesse, répond le saint.
– Quoi, pas un seul jour de purgatoire pour un péché qui m’a tourmenté toute ma vie ?
– Ne vous en faites pas, je suis Saint-Étienne

Quatre moines sont réunis dans une pièce et la théologie va bon train. Soudain, une panne d’électricité…
Le franciscain s’agenouille et demande « la Lumière » au Seigneur. Le bénédictin récite son bréviaire qu’il connaît par cœur, persuadé que le Seigneur lui fera grâce. Le dominicain se lance sur une rhétorique de la Lumière et de l’Obscurité de ce monde.
La lumière revient… mais où est le jésuite ?
Lui aussi revient… Il était allé changer les fusibles

33 réflexions sur “Et la lumière fut… ou pas

  1. Merci Élisabeth. De belles blague pour un week-end radieux. Le jésuite à été fidèle à un des principes cher à Saint Ignace: que les jésuites soient des contemplatifs dans l’action. Autrement dit, pouvoir concilier méditation et action, théorie et pratique. Un grand défis….Je te souhaite un week-end plein de bonheur…

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