Et ce fameux sens de la vie, alors…

échelle

Attention, je ne me lance pas dans de grands discours philosophiques, métaphysiques ou existentiels, je vous propose juste quelques pistes, outils et exercices pratiques.

Après avoir renoncé à trouver cette fameuse mission, reprenons le postulat que la vie est une grande école où tout être est appelé à travailler sur soi pour réaliser son plein potentiel.

Mais nombreux sont ceux qui tels des robots, avancent, sans savoir pourquoi. Rien ne les attire ou ne les motive et ils se contentent juste d’exister.

Ou encore, il y a des personnes qui se battent avec la vie, et en élèves rebelles, refusent d’apprendre les leçons qui leur sont proposées. Ils rejettent leur destinée et trouvent tous les moyens détournés pour la fuir.

D’autres la subissent, parfois, en espérant secrètement qu’elle s’achève au plus vite.

Sans en faire une sorte de quête du Saint Graal, nous pouvons néanmoins nous connecter constamment à ce qu’il y a de plus fort, de plus grand, et de plus noble en nous :

  • En retrouvant nos rêves d’enfance
  • Définissant nos passions, ce qui nous motive, ce que nous faisons avec joie
  • En nous inspirant des personnes que nous admirons

Pour bien le mettre à jour il existe un bel outil :

La baguette magique

Imaginez que vous la possédez et que, grâce à elle, vous pourriez modifier des choses dans les domaines de votre vie qui ne vous satisfont pas.

Que changeriez-vous ?

  • Quelle serait la plus haute vision de vous-même, quelle contribution pourriez-vous apporter au bien commun, quel héritage désireriez-vous laisser à vos descendants
  • Votre rêve le plus fou, le plus ambitieux. Sans y mettre aucune limite
  • Qu’est-ce qui rendrait votre vie riche et pleine de sens 
  • Si tout était possible, que choisiriez-vous de faire 
  • A quoi ressemblerait votre vie idéale ? Que voudriez-vous avoir accompli ?

Stephen Covey, en introduction de son livre Les 7 habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent, propose un autre exercice. Certains risquent de ne pas le trouver drôle… car il s’agit de s’imaginer à son propre enterrement…

Vous regardez avec détachement ceux qui y sont présents, vos proches, vos amis ou collaborateurs.

Choisissez trois personnes qui sont significatives pour vous et entendez-les prendre la parole.

Que disent-ils ? En quels termes et par quels traits de votre personnalité vous évoquent-ils ? Quels souvenirs avez-vous laissé ?

Demandez-vous ensuite ce que vous aimeriez qu’ils expriment… Comment voudriez-vous que ces personnes se rappellent de vous ? Quel discours aimeriez-vous que chacun prononce ?

Et comparez les deux…

En relevant les points sur lesquels les écarts sont les plus importants car c’est à ceux-là que vous devriez vous consacrer prioritairement, en vous fixant des objectifs concrets.

Et c’est ainsi que vous vous donnerez toutes les chances de devenir vraiment l’homme ou la femme que vous voulez être.

En rétablissant vos priorités entre carrière, famille, couple, en vous concentrant sur l’essentiel.

Ainsi, vos petits manques n’auront plus tant d’importance.

Vous y gagnerez de l’assurance dans la vie et vous ferez de meilleurs choix.

Car il arrive que l’on se leurre soi-même et que certaines sphères que nous pensions secondaires ne le soient finalement pas.

Ces interrogations, loin d’être morbides conduisent à faire un bilan de sa vie, à reprendre contact avec ses valeurs profondes, voire à se donner l’impulsion nécessaire pour changer.

L’exercice agit également sur l’estime de soi, puisqu’il donne confiance en notre capacité de « créer » celui que nous désirons devenir.

Et la volonté de faire de notre mieux.

Il est bon de le refaire, surtout aux tournants de notre vie.

Vivre en accord avec ses valeurs

Les connaître et respecter, c’est faire un pas vers l’être entier. C’est affirmer qui nous sommes mais surtout agir en fonction de ce que en quoi nous croyons et ce qui nous semble essentiel au plus profond de nous.

Pour ne pas se laisser égarer par un quelconque bénéfice immédiat au détour de la vie.

Mettre par écrit ce que vous vous assignez comme objectifs, ainsi que les étapes qui y conduisent, vous aidera à les appliquer d’une façon concrète.

Cette « feuille de route » évolue régulièrement, se précise, se réajuste et s’affine.

La relire nous permet de voir si ce que nous avons décrit est toujours vrai, par la résonance intérieure avec ce qui fait « chanter notre cœur », ce qui nous fait « vibrer », nous donne l’envie de nous lever le matin, nous remplit de joie, d’enthousiasme, d’énergie.

« À quoi bon grimper plus rapidement à l’échelle pour réaliser qu’elle s’appuie sur le mauvais mur ? »

Nous rappeler cette phrase, d’une justesse rare, nous donne le recul nécessaire pour réaligner notre vie.

Stephen Covey, qui en est l’auteur, donne dans Priorités aux priorités d’autres outils, notamment, en parlant de la montre et la boussole. La montre, étant le temps linéaire, qui passe inexorablement mais que nous pouvons apprendre à utiliser au mieux, en gérant nos engagements, nos activités et nos obligations.

La boussole indiquera la bonne direction, nous guidera vers nos buts véritables, vers ce qui fait réellement sens pour nous.

Lorsque le décalage entre les deux devient trop grand, il est important de voir que ce à quoi nous nous affairons n’est plus au service de ce qui nous nourrit vraiment à l’intérieur.

Cet écart peut générer des sentiments de vide, de  confusion ou de  culpabilité, qui indiquent que nous nous nous sommes égarés en chemin.

Et qu’il est nécessaire d’en prendre conscience mais sans les alimenter.

Comme lâcher le passé, faire le deuil de nos regrets, nos erreurs, et nous libérer de tous les conditionnements ou attentes qui nous ont été inculqués par nos parents, l’éducation, la société. Mais aussi de nos propres désirs « de grandeur »…

Pour trouver son identité propre. Et l’affirmer.

Grandir en conscience, se respecter, entretenir des relations bienveillantes mais sans laisser les désirs des autres devenir un parasitage nous empêchant d’écouter les nôtres.

Savoir dire « non », pour que notre « oui » soit authentique.

Garder et exprimer notre gratitude, notre reconnaissance envers tout ce que la vie nous apporte.

Et surtout l’envie de se réaliser sur le chemin, celui qui ne finit jamais…

Pour ne plus jamais avoir l’impression de passer à côté de sa vie.

41 réflexions sur “Et ce fameux sens de la vie, alors…

  1. Intéressante, cette phrase d’échelle appuyée sur un mauvais mur ! Comme quoi ce sont parfois les affirmations qui au premier abord prêtent à rire qui sont, finalement, les plus percutantes.
    L’exercice de l’enterrement, c’est pas mal non plus.
    Pour moi ça fait quelques échos par rapport au livre que je lis actuellement, la « bible de l’artiste » par Julia Cameron, intitulée « Libérez votre créativité », où cette idée d’aller dans la direction qu’on pense pouvoir suivre en s’empêchant d’aller vers celle qu’on rêverait de suivre est assez prédominante.. le blocage dont il faut se défaire. Après, trouver quel sens on rêve de donner à sa vie, c’est encore autre chose, et on n’est pas tous égaux là-dessus !

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    • Toujours ravie que cette phrase fasse rire beaucoup parmi vous car, comme je le disais dans un autre commentaire, ce constat peut être fort douloureux à celui qui a passé sa vie à grimper.
      Et belle synchronicité, nous avons les mêmes lectures, puisque j’ai découvert Julia Cameron il y a peu de temps et j’aime particulièrement ses « Pages du matin » et l’éloge de la marche.
      Et bien sûr, suivre la voix de ce qui nous enthousiasme.
      Nous ne sommes pas égaux tout court, et pour le domaine des rêves, c’est tant mieux car imagine, si tous avaient le même 🙂

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  2. « À quoi bon grimper plus rapidement à l’échelle pour réaliser qu’elle s’appuie sur le mauvais mur ? »
    Cela me fait rire, mais c’est tellement vrai ! Ainsi que tu l’expliques dans la suite de l’article.

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      • Oui mais parfois une vie entière peut être « éclairée » par le « vrai » en une fraction de seconde et même si c’est vers la fin, quelle beauté ! Merci la vie.
        nous pédagogues, nous aimons affirmer que l’être humain est « éducable » tout le temps. Personnellement, je préfère élargir ce postulat : pour moi toute vie est éducable, en ce sens que toute vie peut prendre conscience à sa manière et selon le véhicule particulier qu’elle a choisi à ce moment-là, toute vie peut prendre conscience de sa valeur n’importe quand et n’importe où.
        Pour moi c’est un des sens d’une certaine parabole (le fils prodigue).
        Nous ne savons rien de la vie « hors temps », ou si peu ; nous n’y avons accès que par timides effleurements…
        tendresse à vous deux
        andrée

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  3. J’aime beaucoup l’image de la montre et de la boussole, boussole ancrée dans le coeur….pas de « feuille de route », juste la guidance du coeur.
    La baguette magique…je l’utiliserais pour « travailler » sur mon intérieur pour modifier la perception que j’ai de l’extérieur, mieux l’accepter pour accueillir les expériences quelles qu’elles soient….
    Gratitude ♥, Elisabeth pour tes beaux textes qui nous poussent dans nos réflexions.
    Douce soirée.

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  4. Bonjour Elisabeth
    Encore un très bel article, très clair, accessible et salutaire.
    Vieillir, ce n’est pas que du désagrément, c’est percevoir de façon quasi évidente , la direction de ce fameux sens de la vie…et des textes comme celui que tu publies aujourd’hui nous raffermissent encore
    Bonne journee
    Amitiés
    Marie

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  5. Bon soir! Il ya des choses que je changerais mon choix de carrière à l’université, mais je ne pas vraiment avoir une vision claire de ce que puis je voulais vraiment faire de ma vie autre que de visiter Paris et peut-être y vivent. Et maintenant que je sais ce que je l’aurais choisie, il n’y a pas défaire du passé ou regarder une nouvelle carrière. Donc, je l’ai trouvé des façons de faire ce que je l’aime dans ma retraite et de vivre sans trop de regrets. Et je ne veux vraiment pas jamais être employé à nouveau. Avoir un peu plus d’argent pourrait être sympa si je pouvais visiter Paris plus souvent, mais pas assez pour vouloir jamais travailler à nouveau. Et je trouve que la culpabilité est une émotion complètement inutile car elle ne change rien et est totalement non-productive. Donc je suppose que plus ou moins, je ne pense pas que je suis absent dehors sur trop. Je préférerais ne pas avoir eu à traiter avec autant de douleur chronique comme je l’ai, mais je ne peux pas changer non plus. Mais ce que je peux faire et choisir de le faire est ne pas laisser ce qui n’a pas eu lieu à définir qui je suis, Elisabeth. Cela peut sembler un peu égoïste, mais pour la plupart, je voudrais qui je suis et comment je me sens sur les choses. Et vivre avec des regrets et la culpabilité ne sont pas la façon dont je vais choisir le dépenser ce temps qui me reste dans ce monde. Ce fut un poste très intéressant et stimulant et il est quelque chose qui fait de nous tous bonne à penser. Je vous souhaite une semaine absolument merveilleux mon ami. Love and hugs, N 🙂 ❤

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    • C’est encore un très beau et juste témoignage, et j’adore cette phrase : « choisir de ne pas laisser ce qui n’a pas eu lieu définir qui je suis ».
      Car c’est en éliminant les regrets inutiles, ainsi que toutes sortes de culpabilités que vous êtes devenue cette belle personne qui fait au mieux avec ses rêves mais aussi avec ce qui est.
      En sachant distinguer entre ce que vous vous pouvez changer et ce que vous acceptez, selon cette magnifique prière de sérénité que vous connaissez sûrement.
      Et ce n’est absolument pas égoïste car s’affirmer n’empêche en rien de garder son cœur grand ouvert à la vie et aux autres.
      Merci à vous, Natalie, toute ma tendresse et douce semaine à vous.

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      • Merci, Elisabeth, pour votre réponse. Amateur de nos conversations et des échanges d’idées. Je suis familier avec la prière de la sérénité et ai toujours trouvé une bonne façon de vivre la vie. Après avoir réfléchi plus sur votre poste, je voulais aussi ajouter que, puisque rien dans cette vie est parfaite, les choses étaient différentes qui souhaitent également souhaiter une autre série de problèmes aussi. Et même si ce que nous souhaitons pour vaut mieux peut-être que ce que nous avons, qui est de dire que les problèmes ne pourraient pas être pire que ce que nous avons fait face. Je crois aussi que Dieu nous a mis là où nous sommes pour une raison et nous apportent les gens et les choses qu’il veut être une partie de nos vies. Donc, étant donné que, il est jamais une bonne idée de contourner sa volonté. Par exemple, si je devais personne, mais qui je suis et / ou étais nulle part ailleurs, vous et je pourrais jamais rencontré. Après tout ma vie aurait pu se terminer il ya 3 ans quand je eu ce coup. Donc, je vais continuer à trouver le contentement et de gratitude et d’où je suis et qui je suis et être oh si heureux que je ne pas manquer que vous le sachiez. Indépendamment de ce que je avoir et ne pas avoir, je tente de ne jamais regarder un cheval de cadeau dans la bouche, comme ils disent. Beaucoup d’amour et d’énormes câlins, Natalie 🙂 ❤ xoxo
        PS. I have to use Google Translate to write my replies in French and so I sure hope they make sense my friend. Perhaps, I should put them in English too. 🙂 🙂 🙂

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        • J’adore nos échanges aussi, et je sais que nous avons les mêmes références et parlons la même langue de l’âme.
          Quant à celles que nous utilisons, je vous remercie d’écrire en français et même avec Google, c’est clair.
          Vous pouvez le faire en anglais mais le mien étant certainement moins bon que votre français, je préfère vous répondre dans cette langue 🙂
          La prière de la sérénité nous aide tellement à accepter, tout en nous laissant libres d’agir là où nous pouvons le faire.
          Nous avons souvent des souhaits d’une vie différente mais, comme vous dites, cela comporte plusieurs pièges.
          Car, s’ils nous servent à évoluer, c’est excellent mais si c’est pour nous lamenter sur ce que nous n’avons pas, c’est de l’énergie perdue.
          Et comme dit le proverbe: « the grass is always greener on the other side », avant de voir que les voisins ont aussi leurs problèmes, peut-être pire que les nôtres.
          Comme vous, je crois que Dieu ou la Vie, nous donne des épreuves dans le but de nous faire grandir et que nous n’avons jamais de fardeaux que nous serions incapables de porter.
          Et la gratitude est essentielle, pour tout ce que nous recevons, et aussi parce que nous ne serions jamais devenus qui nous sommes sans ces souffrances surmontées.
          Je remercie la vie, pour le cadeau de notre rencontre.
          Toute ma tendresse à vous, Natalie

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        • Perhaps you should, dear Natalie,

          For sure, « regarder un cheval de cadeau dans la bouche » doesn’t make much sense in French.

          May I ask what the expression is in English?

          Fyi, I dropped a little note on your blog last night. Inspiring, and very beautiful pictures.

          Gilles

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  6. Bonjour Elisabeth,
    C’est pourtant vrai, tout est là 😉
    « Grandir en conscience, se respecter, entretenir des relations bienveillantes mais sans laisser les désirs des autres devenir un parasitage nous empêchant d’écouter les nôtres.
    Savoir dire « non », pour que notre « oui » soit authentique.
    Garder et exprimer notre gratitude, notre reconnaissance envers tout ce que la vie nous apporte. »

    Le travail de toute une vie, car c’est bien elle et elle seule qui nous façonne en nous donnant tant de choses à vivre.
    Je reste persuadé que jusque qu’au dernier souffle nous évoluons, rien n’est jamais acquit, rien n’est jamais figé 😉
    Encore une fois Elisabeth tu me confortes dans ma vision, merci beaucoup 😉

    Très bonne fin de semaine à toi ainsi qu’un beau et doux week-end.
    Doux bisous
    🙂

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    • Merci à toi, je sais que tu partages cette vision, simple en apparence et pourtant si peu évidente à mettre en pratique.
      La vie nous façonne, certes, si toutefois nous ne lui résistons pas et acceptons avec grâce ses cadeaux, comme ses épreuves.
      Tendres bisous et beaux week-end à toi, Fanfan

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      • Tu mentionnes que cela n’est pas toujours évident, comme c’est vrai…
        C’est souvent lorsqu’on n’en peut plus, que nous sommes trop étouffé qu’alors nous cheminons différemment.
        Encore une petite vérité Elisabeth, tout est une question d’ouverture d’esprit et d’acceptation, dans le positif comme dans le négatif 😉
        Merci beaucoup, très bon week-end automnal ensoleillé.
        Doux bisous

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        • Une question d’ouverture, essentiellement car l’acceptation n’est pas toujours possible, immédiatement. Mais si nous arrivons à nous accueillir dans nos luttes et nos fuites aussi, alors, le chemin s’ouvre…
          Merci à toi, Fanfan, tendres bisous et profite bien de ce temps magnifique

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  7. J’ai fait l’exercice de l’enterrement avec beaucoup d’émotion et retrouvé le sourire avec l’échelle appuyée sur un mur de guimauve… Merci Elisabeth pour ce billet. Douce soirée 🙂

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  8. L’évidence c’est que l’essentiel n’est pas ce que nous attendons de la vie… mais ce que nous apportons à la vie en toute authenticité. C’est à nous les « zumains » de lui donner un sens au fil du temps. Je ne sais pas si en disant cela je fais de l’auto suggestion ou si je suis profondément convaincue de mes mots. Parce que je me ballade encore, et que j’apprends… 😉 Mais c’est ce vers quoi je vais 😀

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    • C’est une très belle évidence qui me touche beaucoup, comme ta sincérité, Myo. Et la conscience claire de ce que vers quoi tu tends.
      J’aime les personnes en chemin, celles qui se posent de bonnes questions et s’interrogent, comme je me méfie des certitudes de ceux qui se croient « arrivés » quelque part…

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  9. Merci chère Elisabeth,

    Cette phrase m’a interpellé et m’a incité à retranscrire le texte du livre que je lisais concernant la notion de grâce bernardienne (Bernard de Clairvaux) ou cistercienne. Je vais te faire parvenir le texte par email. Il prend une page et je ne voudrais pas monopoliser l’espace!

    Toutes mes amitiés, et un grand merci – il y a de toute évidence quelque chose pour moi dans ce texte.

    PS: Cette quête n’a pas besoin d’être « sainte » même si l’on définit ce graal comme « saint; » a tort peut-être.

    « Sans en faire une sorte de quête du Saint Graal, nous pouvons néanmoins nous connecter constamment à ce qu’il y a de plus fort, de plus grand, et de plus noble en nous « 

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    • La véritable quête est toujours quelque chose de noble et tourné vers le Plus Grand que nous. Je te remercie pour ce beau texte sur la grâce qui m’inspire beaucoup mais si je parle de Graal de cette façon, c’est parce que l’article se veut plus concret, comme je l’ai annoncé dès le départ.
      Mais je suis contente que tu y aies trouvé quelque chose pour toi…
      Amitiés sincères, Gilles

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  10. Bonsoir Elisabeth,
    Ah le sens de la vie!!!!… 😉 Déjà apprendre qui l’on est….qui on aspire être… le chemin qu’on entreprend pour y arriver….voilà de quoi se faire une vie et y trouver un sens…

    Et tout est dans ce passage: « Vivre en accord avec ses valeurs

    Les connaître et respecter, c’est faire un pas vers l’être entier. C’est affirmer qui nous sommes mais surtout agir en fonction de ce que en quoi nous croyons et ce qui nous semble essentiel au plus profond de nous. »

    Et cet autre passage m’a d’abord fait sourire…. mais il est porteur de tant de sens…. « À quoi bon grimper plus rapidement à l’échelle pour réaliser qu’elle s’appuie sur le mauvais mur ? »

    J’aime la perspective ce cet article.

    Mes amitiés sincères

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    • Cela ne m’étonne guère que tu aies accroché à ce passage sur les valeurs car je sais quelle importance tu accordes à mettre les tiennes en application quotidienne.
      Et si la citation de l’échelle t’a fait sourire, ce que ton mur est solide, autrement, elle peut déclencher des réactions perturbantes.
      Merci à toi, Kleaude et toutes mes amitiés

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