Suite et fin de cette série d’articles sur l’Amour et toutes ses facettes. Voilà que nous arrivons en haut de l’échelle avec eunoia, l’amour dévouement, charis, l’amour célébration et agapè l’amour gratuit, inconditionnel.
J’aime prendre soin de toi. Je suis au service du meilleur de toi-même
« L’Amour n’est pas seulement rayonnement de l’Être, partage d’une plénitude intérieure, soleil qui brille sur les méchants et sur les bons, mais aussi soleil qui agit pour les méchants et pour les bons. La compassion est cette bonté en actes, pas en paroles ou en rayonnement seulement, elle est cette plus haute preuve de tendresse qu’on appelle encore le dévouement. »
« Les autres ne sont plus à notre service, ils ne sont plus là pour combler nos manques, ils sont là pour que nous les aimions tels qu’ils sont et quelles que soient les circonstances. »
« Aimer, servir, c’est dépenser son image, ce qui est la meilleure façon de la dépasser. Être au service de la vie et de l’amour, inconditionnellement, agir à partir du meilleur de soi-même, « choisir la meilleure part », c’est sans doute l’unique nécessaire pour nous approcher de la béatitude des deux derniers barreaux de notre échelle ; béatitude qui ne sera sans doute jamais « béate » et sans souffrances, car aujourd’hui comme hier « l’Amour n’est toujours pas aimé ». »
Je t’aime parce que je t’aime.
C’est une grâce d’aimer et de t’aimer.
Je t’aime sans condition.
Je t’aime sans raison…
L’amour qui fait tourner la terre, le cœur humain et les autres étoiles.
Ce n’est pas seulement moi qui aime et qui t’aime, c’est l’amour qui aime en moi…
« Nous nous rapprochons ici de ce que les mots ne peuvent dire, car s’il n’y a pas de mot pour dire sa plus grande douleur, il n’y a pas de mot non plus pour dire sa plus grande joie. »
« La charis c’est donner et se donner avec joie; l’ego, mes intérêts, mes désirs, mes demandes ne sont plus un obstacle, ils sont débordés par la puissance d’un amour qui me vient d’ailleurs, qui m’est donné gratuitement (gratuit et grâce ont la même étymologie) et qui se donne gratuitement. »
« Cet amour est un Autre en nous, une autre conscience, un tout autre amour que tous ceux que nous avons connus précédemment et qu’on ne peut comparer à rien. »
« Cet amour ne détruit rien, ni l’enfant en nous avec ses besoins, ni l’adolescent avec ses demandes, ni l’adulte avec ses désirs, mais il nous rend libres de toutes les formes d’amour que nous avions prises pour l’Amour.
A ce niveau de conscience, amour et liberté s’embrassent, il n’y a plus de dualité, l’homme est ouvert dans toutes les dimensions de son être : la hauteur, la largeur, la profondeur. Il demeure dans l’Ouvert; une porte, des bras se sont ouverts en lui et nul ne les ferme … »
« Nous connaîtrons la réalité telle qu’elle est, et non telle que nous la concevons dans nos limites, nous aimerons comme l’Amour seul sait aimer. »
« Introduire un peu plus de conscience, de liberté et d’agapè dans nos besoins, nos demandes et nos désirs, dans nos passions et nos amitiés. Introduire de l’Ouvert, c’est-à-dire de l’espace et de la légèreté dans tous nos amours. »
« « Avec lui, c’est une relation d’être à être : plus que la rencontre entre un homme et une femme. Une relation qui n’a pas de mots pour se dire; elle se vit au-delà des mots « J’ai le cœur ouvert à une dimension que j’ignorais : avec toi, c’est différent de tout ce que j’ai pu vivre.
C’est un amour où la proximité est spontanée et immédiate; pas de distance à franchir – les âmes en auraient-elles ? Un amour où les frontières sont abolies, toutes les frontières, où on ne souffre pas de la différence ni des différends.
Je ne savais pas que l’intensité pouvait être associée à tant de douceur. Je pourrais dire que tu es « l’amour incarné ». Par ta présence, l’amour se donne. Ta présence est amour. Tu es amour. Avec toi, je suis amour. »
« Un amour bien au-delà de toi, bien au-delà de moi. Chacun de nous se dépasse; c’est un amour qui nous dépasse. Il nous fait accéder à plus grand et plus haut que nous. « Avec elle, je vis des moments magnifiques. » Le temps partagé est un temps hors du temps, hors du commun, du commun des mortels; si près des étoiles que l’on ne touche plus terre.
Nous sommes projetés dans un ailleurs : un monde qui semble oublier le monde, là où les amoureux sont seuls au monde. La perception même des corps est autre : leurs contours se fondent dans un espace infini. Un corps à corps qui est une rencontre d’âme à âme. Je suis avec toi, tu es avec moi. Mais c’est bien plus que toi et moi. »
« Jean-Yves Leloup parle » d’harmoniser toutes les couleurs. » Ce n’est pas parce que je suis dans l’amour inconditionnel que je n’ai plus de libido. Ce n’est pas parce que je suis au service des êtres, ce qu’il y a de plus noble, de plus royal en moi, que j’oublie que je suis aussi un enfant qui de temps en temps a besoin d’une petite caresse.
Ce n’est pas parce que je vis un grand amour que je suis incapable d’amitié, toutes les nuances sont à jouer. C’est cela qui est intéressant : la lumière n’est pas seulement une des couleurs de l’arc-en-ciel, mais toutes les couleurs ensemble. L’amour, ce n’est pas seulement un barreau de l’échelle, c’est l’échelle tout entière. »
« Cet amour-là est au-delà de la présence et de l’absence. C’est un amour qui porte en lui sa foi et détermine ses propres lois. Le lien de plus en plus subtil ne peut être enfermé dans aucune définition, ni se reconnaître d’aucune religion qui ne soit la sienne. C’est un amour libre. Il n’est pas une prison, c’est un don. Il n’enferme ni ne ferme. Il donne et il se donne. »
Aimer l’autre tel/telle qu’il/elle est et quelles que soient les circonstances, d’un amour spacieux et léger qui nous rend libre de toutes les formes d’amour que nous avions prises pour l ‘Amour et peindre le ciel de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel en même temps … Un joli voyage en perspective …
Source : Extraits de Qui aime quand je t’aime de Catherine Bensaid, psychiatre, psychanalyste, et de Jean-Yves Leloup, philosophe, théologien et psychothérapeute. Éditions Albin Michel.
Entre Eros et Agapè nous trouvons deux autres formes d’amour, que je vous invite chaleureusement à lire sur le blog de Nathalie, que je remercie toujours pour ce partage
http://nathaliejongen.wordpress.com/2014/04/11/amour-amitie/
http://nathaliejongen.wordpress.com/2014/04/16/amour-tendresse-amour-harmonie/
http://nathaliejongen.wordpress.com/2014/05/20/amour-devouement-amour-celebration-amour-gratuit/
Et pour finir, une magnifique vidéo de Jean-Yves Leloup, sur l’amour durable
Pingback: Amour dévouement, amour célébration, amour gratuit | anima e mela
Extraordinaire
J’aimeJ’aime
Merci, Giovanni
J’aimeJ’aime
Magnifique… et quel objectif ambitieux que d’atteindre ce type d’amour !
J’aimeJ’aime
Je dirais plus qu’un objectif, Biancat… une quête, et je crois que tu seras d’accord, puisque tu la poursuis…
J’aimeJ’aime
Difficilement, mais oui 🙂
J’aimeJ’aime
Difficilement, comme nous tous mais vaillamment….
J’aimeJ’aime
Oui, c’est un beau billet comme l’a dit fanfan la rêveuse. Je me retrouve bien dans cet amour.
J’aimeJ’aime
Cela ne m’étonne guère, Jean-Michel 🙂
J’aimeJ’aime
J’ai bien fait d’attendre un peu avant de boucler cette trilogie. Merci pour ce paroxysme amoureux, cette magnifique vision de l’Amour Inconditionnel. « C’est l’Amour qui aime en moi » : La petite Thérèse (de Lisieux) ne disait pas autre chose quand dans ses prières elle demandait à ce que le Christ aimât à sa place, qu’il prenne la place en son coeur, alors qu’elle s’estimait incapable d’un tel registre d’Amour miséricordieux. Le Christ, le Moi Christique, la Nature de Bouddha, le Moi Supérieur : encore une fois les appellations n’ont pas grande importance. Et puis cette phrase de ton post : « L’Amour n’est pas toujours aimé ». Cruelle réalité du mépris généralisé face à la plus haute forme d’Amour. Je dis cela en me considérant moi-même comme un rustre, regardant les êtres qui en sont capables avec beaucoup d’admiration : ils ont franchi un cap que je n’ai pas (encore) franchi. Si dur de ne pas être dur dans un monde dur. Je note mes petites réussites de cet Amour Inconditionnel : je suis modestement en chemin, et les petites flamèches de ce feu divin le balisent. Merci encore pour ce texte que je relirai dans les jours qui viennent… Avec tout mon Amour-Amitié 😉
J’aimeJ’aime
Comme il me touche ton billet, Stéphane, tu sais parler si merveilleusement de cette forme d’amour, la plus belle la plus pure et si élevée, qu’effectivement, seules les formes du « Moi Supérieur » peuvent l’exprimer à travers nous…
Si cet Amour n’est pas toujours aimé, c’est que rares sont ceux qui comprennent sa nature véritable, et d’autres le prenant pour un signe de faiblesse le méprisent. Alors, oui, il n’est pas facile de l’incarner dans ce monde qui exalte les durs…
Son extrême exigence décourage, et ceux qui y tendent savent bien que c’est un travail de toute une vie de s’en approcher.
Mais si tu peux admirer les rares êtres qui en sont capables, ne te mésestime pas, s’il te plaît car cela serait faire offense à ta quête, à ton intégrité et à ton désir d’y arriver…
Nulle comparaison n’est juste ni bonne sur le chemin, seules comptent ces : « petites flammèches de ce feu divin qui le balisent »
Merci, du fond de l’Amour-Amitié 🙂
J’aimeJ’aime
C’est trop beau …!!!
Je retiens beaucoup de choses mais, entre autres ceci :
» Cet amour ne détruit rien, ni l’enfant en nous avec ses besoins, ni l’adolescent avec ses demandes, ni l’adulte avec ses désirs, mais il nous rend libres de toutes les formes d’amour que nous avions prises pour l’Amour. »
J’en frissonne encore ….
Ah Elisabeth, merci, merci pour tant de beautés….
Tendresse
Manouchka
J’aimeJ’aime
Très touchée, Manouchka, je savais que tu t’y reconnaîtrais mais les remerciements vont aux auteurs de ce livre magnifique, ainsi qu’à Nathalie qui les a publié. Comme toi, j’admire l’immense sagesse de Jean-Yves Leloup, sa vidéo est aussi une merveille…
Merci d’être à la hauteur de cet amour inconditionnel, que tu chantes dans tes poèmes, et toute ma tendresse profonde…
J’aimeJ’aime
Oui …Jean-Yves Leloup est pour moi » LA » référence …
Je ne sais pas si je suis à la hauteur de cet amour inconditionnel, ça prend toute une vie pour y arriver …. Oui, la recherche est là …le désir de l’atteindre est là ….
Merci Elisabeth
Tendresse
J’aimeJ’aime
Je sais combien tu l’apprécies et que tu l’écoutes souvent.
Tu es à la hauteur car tu sais comprendre ses exigences et tu aspires de tout ton cœur à le vivre… alors, même si sa recherche prend toute une vie, « le désir de l’atteindre est là …. »
Merci et toute ma tendresse, douce Manouchka
J’aimeJ’aime
Bonjour Elisabeth
ravie de te retrouver autour de l’amour
très beau partage que ces mots, l’amour est mon plus beau sentiment
j’aime aimer, j’aime l’amour tel que je le vis actuellement
après avoir aimé pendant des années une personne qui ne savait pas m’aimer, j’ai appris à aimer et à l’aimer tout simplement pour le bonheur intérieur que cet amour apporte en moi
inconditionnel l’amour ne me fait plus souffrir mais au contraire me fait grandir et aimer tout autour de moi
merci à toi pour cet article et merci à ma vie d’aimer 🙂
bisous ❤
J’aimeJ’aime
Très touchée par ce témoignage, Fabienne… effectivement, passer de l’amour qui fait souffrir, à celui qui devient une joie, dans l’acte de donner, sans rien attendre en retour, est un beau parcours…
Félicitations d’avoir su le faire, tu mesures si bien le chemin parcouru et tout le travail sur toi qu’il fallait faire…
Tu as su transformer cette épreuve en belle leçon de vie, qui t’a grandie et elle continuera encore.
Bisous tendres
J’aimeJ’aime
On est quasiment dans le domaine de la sainteté, là.
Ces sortes d’amour ne se rencontrent pas à tous les coins de rue (à part l’amour maternel ou celui qu’on peut avoir pour des frères et soeurs), en tout cas dans le boulot, je n’en ai jamais vu la moindre trace…
J’aimeJ’aime
La sainteté, peut-être pas mais c’est certain que ce sont les formes d’amour difficilement accessibles, qui demandent un véritable don de soi…
L’amour maternel bien vécu en est une, effectivement, quant à la fratrie, pas toujours évident… il peut y avoir beaucoup de rivalités, de jalousie et de conflits…
Les rencontrer dans le monde professionnel, surtout de nos jours, me semble mission impossible, déjà le respect est si difficile à obtenir…
Mais nous pouvons toujours chercher à les vivre à notre niveau…. et surtout ne pas oublier, que ce qui est vraiment beau est rare aussi, et n’arrive pas sans un bonne dose de travail sur soi…
J’aimeJ’aime
Ahhhhhh ça faisait tellement longtemps que je n’étais pas venue ici Elizabeth ! Contente d’être de retour 🙂 Bisous Julie http://psychomademoiselle.com/
J’aimeJ’aime
Et moi, si heureuse que tu sois revenue… ton blog m’a tant manqué, je viens de passer un moment à rire, comme une folle 🙂
Je ne te lâcherai plus… bisous, Julie et à bientôt
J’aimeJ’aime
Je vais être pessimiste, mais pour moi l’amour fusions n’existe pas , il y en a toujours un qui aime plus que l’autre.
J’aimeJ’aime
Tu n’es pas pessimiste, Orepuk, l’amour va ainsi, bien souvent…. il y a un qui aime davantage, et si la fusion des premiers moments est belle et exaltante, si nous n’en sortons pas, elle se mue en aliénation et enferment…
Dans un couple, chacun devrait rester autonome et laisser l’autre libre…
J’aimeJ’aime
Oui…l’amour inconditionnel se présente gratuitement et comme par surprise…mais après un immense travail sur soi…(c’est-à-dire que quand on a suffisamment « débroussaillé » en soi, il peut se frayer un passage).
J’ai essayé de « reprogrammer » mon gravatar…dis-moi si c’est mieux !
Amitiés.
J’aimeJ’aime
J’aime beaucoup ta métaphore du passage à débroussailler car effectivement, si l’Amour est disponible à tout moment, nous ne sommes pas toujours prêts à l’accueillir.
C’est bon pour le lien, je suis contente, ce serait dommage que les lecteurs ne puissent pas aller sur ton beau blog.
Toutes mes amitiés, Licorne
J’aimeJ’aime
« Ce n’est pas parce que je vis un grand amour que je suis incapable d’amitié, toutes les nuances sont à jouer. C’est cela qui est intéressant : la lumière n’est pas seulement une des couleurs de l’arc-en-ciel, mais toutes les couleurs ensemble. L’amour, ce n’est pas seulement un barreau de l’échelle, c’est l’échelle tout entière. »
Comme d’habitude, je viens de prendre un grand plaisir à te lire Elizabeth. L’amour tant décrié mais recherché, l’amour mais quel amour ? Celui qui élève bien sûr à travailler chaque jour…agréable journée je te souhaite, je viens de prendre de bonnes épices plein ma tête et mon cœur pour une journée encore meilleure, grand merci ♥
J’aimeJ’aime
C’est bien cela, Marie, l’amour se vit dans toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et s’exprime à travers tant de formes, qu’il soit eros, amitié, tendresse, harmonie, comme il englobe tout : les êtres, les animaux, la Nature…
Et comme il est dit souvent, plus on en donne, plus il nous remplit par le seul bonheur de son partage, et il élève nos âmes.
Merci pour ton passage et toute ma tendresse…
J’aimeJ’aime
Un merveilleux texte, très enrichissant. L’Amour nous pousse au delà de nos « limites » (celles handicapantes de notre mental). Quand on dépasse notre mental, je pense qu’on est prêt à l’Amour inconditionnel. Mais quel travail sur soi, pour le dépasser, CE Tenace qui revient toujours ! 🙂 Bon Week à tous. Que la lumière soit toujours dans vos coeurs. Nadine.
J’aimeJ’aime
Le mental reviendra toujours, et c’est un travail quotidien de le remettre à sa place… au service de l’âme. Comme nos blessures non cicatrisées.
Mais le chemin vers Soi, la source de tout amour, avec toutes les difficultés qu’il comporte, est le seul qui puisse donner un sens à nos vie…
Merci, Nadine et lumineux week-end de Pentecôte à vous
J’aimeJ’aime
l’idéal serait d’aimer toujours sans attendre un retour … mais… bises
J’aimeJ’aime
Mais nous sommes humains, souvent blessés et toujours imparfaits… alors, tendre vers cet idéal est déjà une belle démarche…
Bisous, Cathie…
J’aimeJ’aime
Merci, Elisabeth…
Cet amour-là ne se rencontre pas tous les jours…mais quand on le rencontre, c’est un magnifique cadeau !
Bonne journée à toi !
J’aimeJ’aime
Je dirais même, qu’à part l’amour maternel, qui dans les conditions « normales » est toujours inconditionnel, effectivement, l’agapé ne se rencontre pas souvent. Et c’est un magnifique cadeau, certes mais qui n’est donné qu’à ceux qui sont prêts à le recevoir car tu le sais très bien, qu’il exige beaucoup de travail sur soi…
Merci, Licorne et doux week-end
J’aimeJ’aime
Sans amour on est rien du tout …
Bon week end Elisabeth
J’aimeJ’aime
Qu’une coquille vide, Juliette… doux week-end à toi
J’aimeJ’aime
L’amour prend tout son sens quand on aime au-delà de toutes les raisons….Aimer pour milles et aucune raison….
Ce qu’on ne sait plus expliquer donne tout son sens à l’amour…
L’amour est un angoissant abandon…. mais il faut se jeter dans le vide pour connaître l’ultime sensation d’abandon….l’abandon totale….Plonger sans cordes..délesté de toutes chaines…. toutes ces réserves,,,,qui emprisonne trop souvent le cœur et restreigne ses palpitations….
Mes salutations sincères et bon week-end!
J’aimeJ’aime
C’est encore merveilleusement bien dit, Kleaude… « aimer au-delà de toutes les raisons », d’un amour gratuit, qui ne tient pas compte de ce que nous pouvons recevoir, juste mus par cette envie de donner…
Accueillir ce mystère et ce miracle qui nous dépassera toujours et s’y abandonner totalement…
Cela est bien angoissant, comme tu le soulignes, tel un saut dans le vide… comme celui de la Foi… nous risquons d’être blessés mais cela nous met à nu, abat toute les barrières et rompt toutes les chaînes…
Le meilleur moyen de sonder notre nature profonde et libérer nos cœurs.
Tu sais si bien cerner toutes les facettes de l’amour et je te remercie encore de venir en témoigner….
Toutes mes amitiés et doux week-end à toi
J’aimeJ’aime
L’amour peut être un remarquable abandon aussi à l’amitié, aussi il ne faut pas perdre de vu l’essentiel.
Quoi qu’il en soit, c’est un très joli hymne à l’amour que faites partager là. Je suis admiratif.
Bonne journée.
J’aimeJ’aime
Merci pour votre passage, Sharnalk et bon dimanche à vous
J’aimeJ’aime
L’amour mène le monde !…
Tu as une très belle recherche, Bravo !
Passe une belle fin de semaine,
¯`’•.¸♫♪♫¸.•’´¯
J’aimeJ’aime
Oui, Floray, c’est la force qui a crée et fait tourner l’Univers, comme elle commande nos vies….
Cette recherche est aussi la tienne… merci pour ces belles notes et doux week-end à toi
J’aimeJ’aime
pourquoi on aime qq on peut l’expliquer pourquoi on n’apprécie pas une personne on ne saurait pas le définir non plus
J’aimeJ’aime
Nos sentiments ne se commandent pas, Flipperine, et comme disait Pascal : « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. »
J’aimeJ’aime
C est… l amour maternel 🙂
Voire meme celui que je porte à Zibou ❤
J’aimeJ’aime
Effectivement, Pooky, l’amour maternel est la si belle forme d’agapé, et celui que nous donnons et recevons de nos animaux est toujours inconditionnel. Bisous à vous deux ❤
J’aimeJ’aime
ma Zibou est à la maison et elle me manque… quel dommage que le véto ne lui ait pas autorisé le voyage…
J’aimeJ’aime
Je comprends qu’elle te manque mais le voyage l’aurait fatigué, alors pense à la joie des retrouvailles…
J’aimeJ’aime
Bonjour Elisabeth,
Un beau billet, d’une belle richesse que tu nous donnes en partage Elisabeth, de quoi nous permettre de méditer plus encore ou rêver… Merci à toi !
Bonne fin de semaine à toi avec mes plus doux bisous, à bientôt ! 🙂
J’aimeJ’aime
C’est bien le visage de l’amour auquel tu aspires, Fanfan et que tu décrivais déjà dans les commentaires précédents… et tu ne fais pas que le rêver, tu le mets en actions… alors, merci à toi 🙂
Toute ma tendresse et doux week-end… du temps pour méditer…
J’aimeJ’aime
Grand merci Elisabeth, mais cela n’est pas extraordinaire, rien de plus naturel dans une vie de femme, tu es toi même Amour et Générosité, grand merci pour nous.
Très bon dimanche ensoleillé, que je te souhaite au jardin, au plus près de Dame Nature.
Doux bisous 🙂
J’aimeJ’aime
C’est beau de trouver cela naturel, Fanfan… merci pour ce don de l’amour et d’amitié…
La Dame Nature est belle, bien qu’un peu capricieuse 🙂
Toute ma tendresse à toi
J’aimeJ’aime
Oui, la liberté, on l’expérimente dans l’amour, et jamais aussi fort ailleurs!
J’aimeJ’aime
Frappée par la justesse de ta remarque, Coquelicot, merci, effectivement, tu as raison… l’amour mal vécu peut si vite devenir une prison, qui nous enferme ou enchaîne l’autre, sans parler de tous les autres aspects : la liberté d’être soi, de laisser l’autre libre, vivre la relation librement consentie, se défaire de nos peurs et « bagages »… les déclinaisons de ce concept sont infinies…
J’aimeJ’aime
Votre réflexion est enrichissante. Merci, Je te souhaite un weekend plein de bonheur…
J’aimeJ’aime
Merci à toi, Thera, et un week-end en Esprit éclairé…
J’aimeJ’aime