Pourquoi les cochons ne volent pas et autres absurdités joyeuses

Un professeur déjeune à la cantine quand un étudiant vient s’asseoir en face de lui. 
Le professeur lui dit : un oiseau et un cochon ne déjeunent pas ensemble ! Eh bien je m’envole lui répond l’étudiant.
Le professeur, vert de rage, décide de lui coller un zéro pour le contrôle de la semaine suivante mais l’étudiant répond parfaitement à toutes les questions. Alors le professeur lui pose un petit problème :
 «  Tu es dans la rue et tu trouves deux sacs, l’un contient des billets de banque et l’autre l’intelligence, lequel choisis- tu ? »
« Le sac remplit de billets »  répond l’étudiant.
« Moi à ta place, j’aurai choisi l’intelligence ! »
« Les gens prennent toujours ce qu’ils n’ont pas « lui répond l’étudiant. »
Le professeur étouffe sa rage, prends sa copie
et inscrit « CONNARD »
L’étudiant prend sa copie va s’asseoir et au bout de quelques minutes revient.
« Monsieur – lui dit-il – vous avez signé mais vous avez oublié de me mettre une note »

Lapin

Une dame envoie à son médecin une caisse de champagne, avec le mot :
– « Merci pour mon mari »
Gêné, mais content le médecin l’appelle :
-Merci Madame, mais il ne fallait pas, je me devais de guérir votre mari.
La dame rétorque :
–  Voyons docteur, si vous l’aviez guéri, je ne vous aurais pas envoyé de champagne !

Deux potes discutent à la machine à café :
– Je t’ai dit que j’avais rencontré ma femme en boîte de nuit ?
– Ah, super, et c’était romantique ?
– Non, c’était embarrassant, je pensais qu’elle était à la maison avec les enfants…

Bonjour ! C’est la réception ?
J’aimerais parler avec quelqu’un à propos d’un patient qui se trouve chez vous. J’aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s’il va mieux ou si son problème s’est aggravé.
Quel est le nom du patient ?
Il s’appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302.
Un instant je vous prie, je vous passe l’infirmière.
Après une longue attente :
Bonjour, ici Françoise, l’infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
– J’aimerais connaître l’état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
– Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
– Ici Le Dr. Jean, le médecin de garde ; je vous écoute.
– Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis
trois semaines à la chambre 302.
– Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
– Huuuummm, Le voici :
– Il a bien mangé aujourd’hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, Il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement, on va lui enlever le monitoring cardiaque demain. Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d’ici le week-end.
– Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.
– Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement de la famille ?
– Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du 302 !
Tout le monde ici entre et sort de ma chambre et personne ne me dit rien…
Je voulais juste savoir comment je me porte ! Merci bien !

L’histoire se passe à Moscou :
– Allo, la Brigade anti-drogue ?
– Oui, j’écoute… C’est pour une dénonciation ?
– Oui, j’ai appris de source sûre que celui qui habite dans la maison située au 3 bis rue de St-Petersbourg a planqué du haschisch dans le cabanon de son jardin, au beau milieu de son bois de chauffage…
Opération musclée le lendemain à 6 h du matin rue de St-Petersbourg, chez un dénommé Vladimir. Une horde d’une douzaine d’agents débarque et se rue dans le cabanon en question. Ils sont là avec des haches et des tronçonneuses à vérifier les bûches, une par une. Mais au bout de deux heures, ne trouvant rien, ils finissent par renoncer. Furieux, ils prennent congé sans même s’excuser. Juste après leur départ, le téléphone sonne chez Vladimir.
– Salut Vlad, c’est Sergeï, dit la voix, ça s’est bien passé ? Vladimir répond :
– Ah tu parles, ils ont tout mis en mille morceaux à la bonne taille pour mon poêle !
– Tant mieux… Mais la semaine prochaine, c’est ton tour. Tu diras à la répression des fraudes que j’ai enterré du caviar de contrebande dans mon jardin. J’ai besoin que quelqu’un retourne mon potager.

Ours fleur

Un mec est venu sonner chez moi pour me demander un petit don pour la piscine municipale, je lui ai donné un verre d’eau.

Cette nuit un voleur s’est introduit chez moi, il cherchait de l’argent !
Je suis sorti de mon lit et j’ai cherché avec lui.

La seule fin heureuse que je connaisse, c’est la fin de semaine…

De chez moi au bar il y a 5 minutes, alors que du bar jusque chez moi il y a 1 h 30 !…

L’ironie c’est quand tu rentres en prison pour vol de voiture et que tu sors pour bonne conduite…

Le travail d’équipe est essentiel. En cas d’erreur, ça permet d’accuser quelqu’un d’autre !

Les parents, se sont deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler, pour te dire ensuite de t’asseoir et de te taire !

Avant je savais bien écrire et, un jour, j’ai eu un téléphone portable :
é depui il c produi kelk choz 2 bizar…

J’ai dit à ma femme que j’avais envie de la tuer, elle m’a dit que j’avais besoin de consulter un spécialiste. J’ai donc engagé un tueur à gages.
 

 

47 réflexions sur “Pourquoi les cochons ne volent pas et autres absurdités joyeuses

  1. Celle du prof et de l’étudiant est bien bonne Elisabeth ainsi que celle du malade qui désire connaitre son état de santé mais aussi celle de la brigade des stups !
    Merci bien pour la rigolade matinale !!!
    😉

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  2. Bonsoir Elisabeth,
    Je ne pouvais pas jeter un petit coup d’oeil rapide à mon blog, sans te faire un petit coucou. Les blagues du weekend sont toujours un agréable moment. Je repasserai bientôt. Je te souhaite un bon début de semaine. Bises.

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